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Les Médias en parlent


Tchikan

Emmanuel Arnaud & Kumi Sasaki
Préface de Ghada Hatem​
Tchikan

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Excerpt in English

Récit

14,90 €, 128 p.
ISBN : 978-2-36280-188-4
Format : 140/205 mm
Parution : 5 octobre 2017
Disponible en Ebook (9,99 €)

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Voice up Japan (en anglais)     Johann Fleuri, 16 juin 2019

Recently, a brand new application that gives the opportunity to prevent from chikan assaults, who operate mainly in the trains, has been deployed by the Digi Police. In a few days only, it has been downloaded 237 000 times. In 2017, Kumi Sasaki wrote a book in french, in Paris, where she lives. She wanted to denounce how the  japanese train can be a nightmare for a young girl going to school on her own.

Everyone living in Japan has heard of the chikan, those men who ride on crowded trains in order to assault young girls, often high-school teenagers in uniforms. Now one of their victims, a woman in her thirties who writes under the nom de plume Kumi Sasaki, has spoken out. [...]

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France 2      Journal de 20h, 9 juin 2019

Photo
Photo
Au Japon, le fléau des frotteurs du métro, Tchikan.
Journal de 20h, présenté par Laurent Delahousse, à partir de la min 23:22

Accéder au Journal en replay

Le Journal des Femmes      Soraya Idbouja, 29 mai 2019

Signal d'alerte. Les Japonais ont mis au point une application mobile permettant aux femmes d'éloigner les "tchikan", prédateurs sexuels, dans les transports. […]

Si en France nous avons la chance de pouvoir nous exprimer librement sur les frotteurs du métro, au Japon, pays de la retenue poussée à l'extrême, se plaindre ou même aborder un sujet aussi tabou que le sexe ou toute chose s'y rapportant (même la contraception est taboue !) est complexe. "On a honte. Une jeune fille qui s'exprime publiquement sur une affaire de ce genre est humiliée et salie aux yeux de la société japonaise : on dit qu'elle est perdue, qu'elle ne trouvera jamais de mari", explique Kumi Sasaki, victime de tchikan (frotteurs en japonais) alors qu'elle n'est que collégienne et auteure, avec Emmanuel Arnaud, de Tchikan, un livre choc où elle témoigne (Ed. Thierry Marchaisse). En espérant que cette application réussisse là où les hommes échouent. [...]

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Guillaume Chérel      23 mai 2019

Un ouvrage tout en pudeur, très touchant parce qu’après l’agression (sexuelle), c’est l’indifférence de l’entourage qui est vécue comme une double peine. Le genre de traumatisme qui peut durer toute une vie, si on ne fait pas de thérapie. […]

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Japanisation      28 avril 2019

Les langues des femmes se délient doucement au Japon et avec elles une foule de témoignages voient peu à peu le jour jusqu’à percer dans les médias japonais. 

« En effet, les « chikan » savent que le fait de porter un uniforme scolaire signifie que la fille est légalement mineure, et il est dingue de voir comment, dans ce pays, un simple uniforme est devenu un symbole faisant de celle qui le porte la cible de ce type de comportement ». précise-t-elle. Ne plus porter d’uniforme règle peut-être le problème individuellement, mais ceci fait indirectement porter la culpabilité sur la fille sans vraiment régler un problème devenu sociétal.

​Une constatation qui avait également été soulignée dans le livre-confession 
Tchikan de Kumi Sasaki. Pour elle, il n’y a pas de doute possible, l’uniforme crée une situation de légitimation des attaques sexuelles. Non pas que l’habillement en lui même justifierait l’agression, mais bien qu’un symbole de jeunesse – de non-maturité légale – soit perçu par les pervers comme un justificatif à autoriser une agression. [...]

​
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RFI      Dr Ghada Hatem, 4 janvier 2019

Emission "Priorité santé", par Caroline Paré.
Le Dr Ghada Hatem
vendredi 4 janvier 2019, 48 mn.

​​Écouter l'émission

Ridilover (en japonais)      5 juin 2018

Article en japonais

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Japan Times (en anglais)      Yukari Tanaka, 21 avril 2018

‘Chikan,’ the Japanese term for groping, is increasingly being recognized abroad
​
Metropolitan Police Department figures from 2017 show that 20 percent of sexual harassment cases occurred in train stations.

Over the past six months, media organizations at home and abroad have published articles that have examined whether or not Japan has embraced the Me Too movement [...]

The novel by French author Emmanuel Arnaud and the protagonist of the novel, Kumi Sasaki, outline the woman’s experiences as a victim of groping on Tokyo’s JR Yamanote Line at the age of 12 [...]

Although the terms “chikan” and “karōshi” have started to be recognized internationally, it’s worth noting that they follow in the footsteps of terms that have also conveyed numerous positive influences. Take terms such as karaoke, haiku, ukiyo-e and manga, for example, to name just a few [...]

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Chine des enfants      Entretien avec Emmanuel Arnaud, 20 avril 2018

Rencontre avec Emmanuel Arnaud (Propos recueilli par David Signoretti)
​
  • Ce témoignage ou d'autres ont-ils pu se faire entendre au Japon, comment est-il perçu ?
Oui, de très nombreux articles ont paru au Japon sur le livre, et ce dans les plus grands journaux nationaux (Mainichi Shinbun, Toyo Keizai, Courrier International Japon, etc.). La télévision japonaise, y compris nationale (NHK), a également consacré plusieurs reportages au livre.

Toutes les chroniques sur le livre sont disponibles sur la page que je dédie au livre sur mon site (https://emmanuelarnaudblog.wordpress.com/).
 
Ce qui est toutefois intéressant est que certaines personnes japonaises (on le voit notamment dans les commentaires sur les forums) ont perçu ce livre comme une attaque, non pas d’une pratique de harcèlement sexuel au Japon, mais du Japon lui-même ! Cela a fortement ému Kumi, et m’a également beaucoup surpris. Cette réaction, parfois violente, est en effet difficilement compréhensible. Mais elle exprime aussi à mon sens toute l’acuité du problème encore aujourd’hui. [...]

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Mainichi Shimbun (en anglais et en japonais)    Kasane Nakamura​, 30 mars 2018

Article en version anglaise et japonaise

Harsh spotlight on Japan's 'chikan' groping problem as word enters world lexicon...

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International Press ​(en espagnol)      30 mars 2018

Article en espagnol

​en octubre pasado se publicó en Francia un libro titulado “Tchikan”, cuya autoría comparten el francés Emmanuel Arnaud y la japonesa Kumi Sasaki, y que está basado en la experiencia de esta como víctima de pervertidos en trenes en Japón desde que tenía doce años hasta los 18. Traumatizada, la chica intentó suicidarse...

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Connect (en anglais)    Trasha Barrett, mars 2018

Chronique en anglais, p.24-25

In an age when phrases like "Time's Up" and "MeToo" resonate across social media platforms, podiums, and intimate conversations, women not only In the U.S. but around the world, have been stepping forward to lend a voice to the fact that they are tired of being taken advantage of by men.
 
It was while living in France that Kumi Sasaki decided to chronicle her ordeal of being continuously groped over the span of six years while riding trains in Japan [...].
 
An essential introduction to a much wider issue, Chikan is one woman's way of adding her voice to the ever-growing conversation about the different forms of abuse that countless women endure on a daily basis.

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FbTags      8 mars 2018

≠Tchikan, Images et Vidéo

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AbemaTV (en japonais)     4 mars 2018

Chronique (en japonais) sur la télévision japonaise Abema TV

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Planète Japon      Virginie Boucrelle, 27 février 2018

Interview de Kumi Sasaki par Virginie Boucrelle - Zoom Lecture

Tchikan, ces prédateurs sexuels sévissent quotidiennement dans le métro japonais. Le sujet semble tabou, aucune femme n'osant s'attirer le rôle de victime, fort mal vu au Japon. Sous un pseudonyme, Kumi Sasaki ose briser le silence. [...]

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OpenMinded      21 février 2018

Les tchikan sévissent aux heures de pointe

Kumi Sasaki (nom d’emprunt) témoigne dans son livre Tchikan de son quotidien de victime d’harcèlement sexuel des années durant.[...] le livre de Kumi Sasaki espère faire tomber les masques et faire prendre conscience de la situation alarmante.

​
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Medium (en italien)      Agelin Bee, 4 février 2018

Chronique en italien

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France TV Info      Kumi Sasaki, 1e février 2018

Kumi Sasaki - Entretien avec Lea Scherer
France TV Info - 1e février 2018 - 15h50

​
​​​​Accéder à la vidéo sur France Info

Koreaboo (en anglais - Corée)      1e février 2018

Chronique en anglais

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iNews.id (en indonésien)      Anton Suhartono , 29 janvier 2018

Chronique en indonésien

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Buzzfeed.com (en anglais U.S)      Brad Esposito & Eimi Yamamitsu, 25 janvier 2018

This Woman Was Groped On The Train Almost Daily For Six Years And Wrote A Book About It

​
Kumi Sasaki is a 33-year-old Japanese writer who lives in France.
Recently, Sasaki published a book, Tchikan, that dissects the almost daily groping she experienced as a teenager on Japan's train system.
The book was originally published in France last year and is yet to be fully translated into Japanese – but its publication has encouraged a major discussion in Japan regarding sexual harassment on public trains.
In Japan, the term "chikan" is used to describe men who grope women – or other men – on trains. There have been multiple attempts to stop the culture of harassment, including the creation of women-only train carriages, but there are many in Japanese society who refuse to see it as a problem. [...]

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thecoevrage.my (en anglais – Malaisie)      Wanxiang, 25 janvier 2018

Japanese Teen Who Got Sexually Groped on Train for 6 Years Writes a Book About the Experience

The book, written in France, was released last year November and it has been growing in popularity ever since. Sasaki describes in details of how her chikan experience took place throughout her high school years. She hopes that her work can shed some lights on the issue and demands serious treatment because currently, chikan are treated trivially in Japan with many people thinking “it’s just a small thing, not a big deal”. What…why….? [...]

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The Inquirer.net (en anglais – Philippines)      Nina V. Guno, 24 janvier 2018

Book recounts woman’s traumatizing experience of being groped in Japan trains for 6 years since she was 12

Japanese woman Kumi Sasaki, now based in France, has published a book entitled “Tchikan” recounting the sexual assault she experienced during her teenage years [...]

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Sabay.com (en khmer – Cambodge)      24 janvier 2018

Chronique en Khmer

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Meekhao.com (en Thaï)      24 janvier 2018

Chronique en Thaï

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Kenali.co (en indonésien)      24 janvier 2018

Chronique en indonésien

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Japantoday.com (en anglais)      Scott Wilson, 23 janvier 2018

Chronique en anglais, par Scott Wilson

​
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Japo.Vn (en vietnamien)      Ashirogi, 23 janvier 2018

Chronique en vietnamien, par Ashirogi
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Teepr.com (en chinois)      Adrian Chiang,  23 janvier 2018

Chronique en chinois, par Adrian Chiang
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Voce Sabia Anime (en portugais – Brésil)      22 janvier 2018

Japonesa escreve livro sobre os seus 6 anos de Chikan em trens

Kumi Sasaki é uma mulher que foi vítima de Chikan. Chikan é quando uma pessoa coloca a mão em outra em locais públicos, nesse caso aqui, em trens.
Ela escreveu um livro contando sua experiência com Chikan dos 12 aos 18 anos na sua rotina de ir e voltar da escola, 6 anos de chikan.
​
Atualmente Sasaki vive em Paris, na França, e o livro foi publicado lá com o título ''Tchikan'' [...]

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Nextshark.com (en anglais)      Carl Samson, 22 janvier 2018

Sasaki, who now lives in Paris, published the book in French. The title sees a growing success since its launch in October 2017.

She hopes that by putting her book out there, many with similar groping and harassment experiences will be inspired to have courage and finally come forward. It’s her way of starting Japan’s #MeToo movement !

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Rocketnews24 (en anglais)      Scott Wilson, 21 janvier 2018

Japanese woman publishes book about being groped on the train for six years, from age 12 to 18

Men who grope women on crowded trains, known as chikan in Japanese, are a serious problem. There have been a variety of strategies taken to help protect against chikan, from women-only trains to stickers of shame that are impossible to wash off, which women can stamp on their attacker’s hand.
Kumi Sasaki is on such victim of chikan, who recently published a book chronicling her traumatizing experiences. From the age of 12 to 18, she was groped nearly daily on her commute to and from school, for six years straight.

The book was released in November last year, and has been growing in popularity since. Sasaki describes the incidents that took place throughout middle and high school for her, all of them chilling and gripping. [...]

this book is a necessary first step, and Sasaki is extremely brave for being the one to take it.

​
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Courrier International Japon (en japonais)     Kumi Naruse, 17 janvier 2017

Chronique en japonais, par Kumi Naruse

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FCCJ (en anglais)     Johann Fleuri, 8 janvier 2018

A One-Time Victim Raises Her Voice Against Chikan

Everyone living in Japan has heard of the chikan, those men who ride on crowded trains in order to assault young girls, often high-school teenagers in uniforms. Now one of their victims, a woman in her thirties who writes under the nom de plume Kumi Sasaki, has spoken out. In a book published in France in October, she describes hundreds of the assaults that she bore almost daily on the Yamanote Line, as a middle school and high school student. [...]

Now Kumi Sasaki is in her thirties. She divides her time between Tokyo and Paris, where she has been living for about ten years. Almost two decades had to pass before she put words to what happened to her, co-writing her story with a Japanese-speaking French novelist. [...]

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Le Vif/L'Express      N°1, 4 janvier 2018

Le Japon et le fléau des prédateurs des trains
 
Le phénomène #MeToo a démontré que l'affaire Weinstein, révélée en 2017, ne représentait que la face visible d'une pratique de violences contre les femmes répandue dans toutes les couches de la société.

Une illustration saisissante en est encore fournie par le récit de la Japonaise Kumi Sasaki. Elle a été victime dès l'âge de 12 ans d'agressions sexuelles par des prédateurs dans les trains à l'heure du rush des transhumances professionnelles à Tokyo, dénommés Tchikan, titre de son ouvrage corédigé par Emmanuel Arnaud (éd. Thierry Marchaisse, 128 p.). Par des propos parfois crus mais utiles à son témoignage, l'auteure raconte comment le "monde de l'habitude" - le trajet quotidien que suivent les jeunes filles pour rejoindre leur école - peut se transformer. [...]

Eloquent et effrayant.

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Psychologies Magazine      Christine Sallès, N°381, janvier 2018

Tchikan désigne les prédateurs qui se livrent à des attouchements sexuels sur des fillettes, sur les femmes, dans le métro de Tokyo. C'est ce phénomène de société, qui prend d'autres noms dans d'autres pays, que raconte ici Kumi [...]
 
Un témoignage indispensable, parce qu'on ne peut s'accommoder de la violence faite aux enfants.

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Libération      Arnaud Vaulerin, 29 décembre 2017

Kumi Sasaki Cette Japonaise, installée à Paris pour fuir le machisme de son pays, raconte ses années d’écolière à Tokyo harcelée par les «frotteurs» du métro. 

L’effroi de la proie: sécheresse du ton et choix des mots, tout le nomme. Entre deux silences en suspens, Kumi Sasaki se revoit «figée», «glacée», «perdue». Elle avait 12 ans et 3 mois. Ce matin de juin 1993, elle se rend à l’école, anxieuse avant le grand examen trimestriel. La rame de la ligne Yamanote, le périphérique ferroviaire de Tokyo, est bondée. Petit gabarit de préadolescente sage et menue, Kumi Sasaki se retrouve plongée en longue jupe bleu marine et blanches socquettes à volants dans un wagon de salarymen en costumes uniformes stricts. Soudain, elle sent un pouce sur sa poitrine. Puis, très vite, une autre main lui caresse le cou avant de glisser vers le dos, les cuisses et les fesses. Sept longues minutes silencieuses sous la coupe d’un seul homme. Un inconnu qui l’entoure et la toise du haut de son 1,80 m. Elle ne dit rien. Ne bouge pas. Pas plus que les autres passagers, «qui n’ont pas vu ou pas voulu voir». Il descend à la gare de Shinagawa, après avoir dérobé l’innocence d’une petite fille.

​Ce matin-là, bien malgré elle, Kumi Sasaki bascule dans le monde des tchikan, ces prédateurs sexuels avides d’attouchements et de caresses qui peuvent aller jusqu’au viol, comme elle le raconte dans un livre effarant.  [...] 

Accéder à l'article complet (page portrait)

Le Figaro      Régis Arnaud, 27 décembre 2017

Kumi Sasaki, jeune et brillante Japonaise vient de publier, en français, Tchikan, un livre sur son calvaire de collégienne victime d'attouchements presque quotidiens pendant six ans dans les transports en commun. Un phénomène de société aussi répandu qu'occulté : il n'existe aucun livre en japonais écrit par une victime, alors que tout le monde connaît le terme. «Les seules critiques de mon livre sont venues... de Japonais qui avaient eu vent du livre. Ils trouvent que je salis l'image du pays», se désole Kumi Sasaki, qui a choisi la France pour vivre tranquille. 

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Le Nouveau Magazine Littéraire      Alain Dreyfus, N°1, janvier 2018

Balance ton frotteur

C'est une poupée de chair dans les limbes de l'enfance. Vêtue d'une jupe bleu marine et de socquettes blanches, elle est disponible à des milliers d'exemplaires aux heures de pointe dans le métro tokyoïte. Elle est le gibier des "tchikans", voyageurs sans relief avides de palper les seins, les fesses et le sexe de très jeunes collégiennes. [...]

Il faut se confronter au témoignage d'une désespérante douceur de Kumi Sasaki, une Japonaise de 33 ans qui a choisi il y a dix ans de s'installer à Paris pour échapper à ces agressions à la monotonie mortifère. [...]

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France Japon Eco      Régis Arnaud, N°152, automne 2017

Tchikan ou la main de l'homme
 
Le trait le plus odieux du harcèlement sexuel dont les collégiennes japonaises sont quotidiennement victimes (dans les transports en commun, dans la rue...) est sans doute de se voir attribuer, souvent par leurs proches, la responsabilité de leurs tourments. C’est la triste constatation qui ressort de Tchikan, le livre confession écrit par Kumi Sasaki (et Emmanuel Arnaud). L’auteur se fait attoucher dès les premiers jours de sa scolarité japonaise. [...]

​Elle quitte finalement le Japon pour la France. Et de terminer son récit : "Presque rien n’a changé depuis cette époque, n’est-ce pas ? Alors, si ce court récit pouvait aider ne serait-ce que l’une de ces collégiennes à ne pas souffrir comme j’ai souffert, s’il pouvait éveiller ne serait-ce qu’une seule conscience face à l’absurde anomalie que constitue l’impunité dont jouissent toujours les tchikan, je pourrais dire qu’il n’aura pas été complètement inutile". Et si cette recension atteint le même but, tant mieux. 

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Toyo Keizai (en japonais)     Régis Arnaud, 27 décembre 2017

Chronique en japonais, par Régis Arnaud

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La Grande Parade      Guillaume Chérel, 2 décembre 2017

Un ouvrage tout en pudeur, très touchant parce qu’après l’agression (sexuelle), c’est l’indifférence de l’entourage qui est vécu comme une double peine. Le genre de traumatisme qui peut durer toute une vie, si on ne fait pas de thérapie. La résilience de Kumi Sasaki fut de quitter le Japon et d’écrire un livre tout en pudeur mais d’une froide violence.

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Citizen Post      Yohan Demeure, 1 décembre 2017

Une jeune Japonaise a décidé de dénoncer, au nom de toute la gent féminine de son pays, les « chikans », ces prédateurs sexuels œuvrant dans les transports en commun.[...]

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Japan Times (en anglais)      Toko Shirakawa, 29 novembre 2017

A book titled “Tchikan” was published in France based on a confession by a young Japanese woman on her experience of being subjected to groping on commuter trains in Japan. The reason the book’s title is rendered in Japanese is that there is no equivalent word in French. In France, people reportedly refer to such an act on public transport as sexual violence. I would like to suggest that Japanese TV and newspapers start by calling those acts sexual violence — before “chikan” gets established as a term referring exclusively to what’s happening in Japan, just like the word “karōshi” is used to describe death from overwork.

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PlayBac      29 novembre 2017

Monde : la question
Qui surnomme-t-on les Tchikan au Japon ?

Contexte. Le livre Tchikan, de Kumi Sasaki et Emmanuel Arnaud, vient de sortir en France (éd. Marchaisse).

Réponse. Le terme tchikan (ou chikan) désigne les hommes coupables d’agressions sexuelles dans les transports publics japonais. Ces individus profitent de la foule des heures de pointe pour s’en prendre, le plus souvent, à des adolescentes. On estime que plusieurs milliers de tchikan sévissent dans le pays. Kumi Sasaki a été victime de plusieurs d’entre eux lors de ses trajets jusqu’à l’école. Elle avait 12 ans lors de sa première agression. La peine encourue par un tchikan vient d’être portée à cinq ans de prison. Mais seules 5 % des victimes portent plainte, selon la police japonaise.

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Au Féminin      Natacha Couvillers, 28 novembre 2017

Kumi Sasaki dénonce courageusement les “Tchikans”, ces frotteurs japonais qui déshonorent les jeunes filles.

La jeune femme a décidé de raconter ce que vivent au quotidien des milliers de jeunes Japonaises dans les wagons des transports en commun, toujours bondés. C’est à travers sa propre histoire qu’elle livre ce témoignage révélateur d’un véritable fléau au Japon et qui illustre certains problèmes sociétaux. Kumi Sasaki écrit que les tchikans “agressent en particulier les collégiennes, symboles d’innocence, de virginité. Au Japon, beaucoup d’hommes fantasment sur les uniformes des écolières” [...]

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Terrafemina      Barbara Azaïs, 27 novembre 2017

Les tchikans, ces prédateurs sexuels qui agressent les jeunes Japonaises dans les trains

Victime de ces pervers sexuels entre 12 et 18 ans, Kumi Sasaki, aujourd'hui âgée d'une trentaine d'années, témoigne pour "faire évoluer les mentalités". [...]

En février, la police de Fukuoka a également co-créé avec des étudiants, une application mobile permettant de répertorier sur une carte les lieux où des agressions viennent de se produire. Un dispositif ingénieux pour communiquer sur la présente exacte de tchikans en temps réel. Dans le même temps, plusieurs groupes ferroviaires ont installé des caméras de surveillance dans les trains. La société JR East a prévu de le faire dès le printemps 2018 dans les 550 trains de la ligne tokyoïte Yamanote, celle que prenait Kumi Sasaki.
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Les Intelloes      Judith Bouchoucha, 26 novembre 2017

Les Intelloes ont sélectionné pour vous cinq livres à bouquiner près du sapin en décembre. Voyage dans le désert américain, portrait de féministe d’un autre siècle, harcèlement dans les transports, viol ou encore deuil ; une sélection à la fois éprouvante et passionnante.

Les « tchikan », c’est comme cela que l’on appelle les agresseurs sexuels des transports en commun au Japon. Kumi a douze ans et prend tous les jours la ligne YamatoSen pour se rendre au collège. C’est ici, au milieu d’un wagon rempli, qu’elle perd l’innocence de son enfance. Trajet après trajet, elle narre l’insupportable effraction de son intimité de jeune fille. La banalité de ces gestes intrusifs rend le calvaire de Kumi plus corrosif encore.
Grâce à une écriture presque enfantine et quelques dessins qui fleurissent le récit, Kumi Sasaki et Emmanuel Arnaud, son compagnon français, racontent à deux les traces laissées sur un corps d’enfant. Entre le silence et l’incohérence, Kumi désespère et fait gronder en elle la révolte. Un livre qui brusque et qui interroge sur l’omerta de l’impunité.

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Les Inrockuptibles      Johann Fleuri, 25 novembre 2017

Au Japon, les agressions sexuelles quotidiennes se multiplient dans les trains bondés

On les appelle les “tchikan”. Noyés parmi les usagers des lignes de trains japonaises, ces prédateurs sexuels agressent les jeunes filles, en particulier les collégiennes. Ils seraient aujourd’hui plus de 10 000 à agir. L’une de leurs victimes, Kumi Sasaki, a décidé de témoigner dans un livre. [...]

Aujourd’hui, Kumi Sasaki est trentenaire, elle partage sa vie entre Tokyo et Paris, où elle réside depuis une dizaine d’années. Il lui aura fallu vingt ans pour mettre des mots sur son histoire et en faire un livre témoignage, coécrit avec Emmanuel Arnaud et publié aux éditions Thierry Marchaisse. “Aujourd’hui, j’ai envie d’essayer de changer les mentalités.” Car pour elle, c’est un fait : “Rien n’a changé dans la Yamanote.” Une réalité que confirme Akiyoshi Saito qui a publié, l’été dernier, un ouvrage intitulé Les raisons pour lesquelles les hommes deviennent des tchikan. [...]

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Radio RCF      À livres ouverts, Lydie Zannini, 23 novembre 2017

Chronique par Lydie Zannini (> min 7:15)
émission "À livres ouverts", présentée par Henri Bonnet
Jeudi 23 novembre 2017, 19h30.


​Écouter l'émission

Chronique Littérature      Guillaume Cherel, 23 novembre 2017

On pourrait croire que c’est une particularité japonaise mais nous savons que ça existe aussi dans nos transports en commun… 

Un ouvrage tout en pudeur, très touchant parce qu’après l’agression (sexuelle), c’est l’indifférence de l’entourage qui est vécue comme une double peine. Le genre de traumatisme qui peut durer toute une vie, si on ne fait pas de thérapie.
 
La résilience de Kumi Sasaki fut de quitter le Japon et d’écrire un livre.

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Yahoo.co.jp (en japonais)     Tamaka Ogawa, 16 novembre 2017

Chronique en japonais, par Tamaka Ogawa

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P-dress.jp (en japonais)      15 novembre 2017

Chronique en japonais

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Valérie Tong Cuong      12 novembre 2017

En cette époque où les femmes se dressent contre le #harcelement, les abus et les violences sexuelles, #Tchikan révèle au travers d’un témoignage glaçant la situation particulière du Japon mais aussi la mécanique infernale (et universelle) qui entraîne les enfants vers le fond, les conduisant parfois jusqu’au suicide lorsqu’ils ne sont ni entendus, ni défendus par un entourage qui refuse de voir - mécanique qui pour ceux qui n’iront pas jusqu’à cette extrémité, génère des adultes irrémédiablement brisés. Merci @lydiezannini pour ce conseil. Une lecture, souvent crue, forcément dérangeante et c’est très bien ainsi.

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Radio Béton      Des poches sous les yeux, 11 novembre 2017

Chronique par Aurélie, émission "Des poches sous les yeux"

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Parutions      Gilles Ferragu, 10 novembre 2017

WEINSTEIN de métro

On les appelle tchikan… ils prennent le métro avec vous, bien proprets, bien habillés, ''salary men'' sans aspérités, ils semblent anonymes, mais leurs mains sont baladeuses (euphémisme joli pour désigner des attouchements sexuels), ce sont des prédateurs, qui apprécient particulièrement les proies sans défense, les enfants qui n’osent rien dire… 
[...]

Puis Kumi est devenue grande, et a décidé de témoigner de cette violence sexuelle subie quotidiennement et dans une quasi indifférence, au sein d’une société prête à fermer les yeux et tolérer. Cela donne ce petit ouvrage écrit avec Emmanuel Arnaud, qu’elle a illustré avec ses dessins d’enfants, et qui raconte, au jour le jour, la peur, les humiliations, les violences. Un ouvrage qui éclaire d’un jour sinistre la banalité du métro tokyoïte (qui n’est probablement pas le seul métro hanté par des tchikan), avec des mots simples : une lecture pour les grands comme pour de plus jeunes, tant cette vérité ne doit pas rester taboue.

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Charlie Hebdo      Patrick Chesnet, n° 1320, 8 novembre 2017

Mains baladeuses
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Au Japon, on les appelles les tchikan. Les hommes qui profitent de la cohue générale dans les transports publics aux heures de pointe pour se laisser aller. [...]
​
C'est qu'il ne faudrait surtout pas perturber le Wa, l'hypocrite harmonie chère à une société japonaise prête à fermer les yeux et à accepter de tels comportements. Une pression dénoncée par une jeune femme "ordinaire" dont le témoignage, tout à la fois brutal et retenu, écorne très sérieusement, et à juste raison, les clichés sur ce pays... pas vraiment zen.

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Librairie du Théâtre      Lydie Zannini, 8 novembre 2017

je voudrais le faire connaître à toutes les femmes, mères, adultes, adolescentes, jeunes femmes, à toutes celles qui ont envie de parler, à tous ceux qui minimisent les actes d’agression sexuelle et qui n’écoutent pas, à toutes ces jeunes filles muselées dans le silence car incomprises, ou tout simplement seules, face à leur incompréhension de la vie, des autres et face à l’indifférence.

Mesdames, lisez ce livre.

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A bride abattue      Marie-Claire, 8 novembre 2017

Le témoignage de la jeune femme est très fort parce qu'il est écrit au présent, avec toutefois un recul suffisant pour lui permettre d'insister sur les racines du processus. Les codes de la vie en société, tels qu'ils sont en vigueur dans ce pays, sont finement décryptés. On espère que, au-delà d'un effet positif de libération pour l'auteure, ce livre fera évoluer les mentalités en provoquant une prise de conscience face à l'absurde anomalie que constitue l'impunité dont jouissent toujours les tchikan (p. 125).
[...]
On se souvient du film égyptien 
Les Femmes du bus 678, réalisé par Mohamed Diab en 2012 sur un sujet semblable, ce qui signifie que le harcèlement sexuel dans les transports n'est pas spécifique du Japon. Kumi préfère vivre dans notre pays. Mais est-il réellement plus sûr ? On a vu récemment les étudiants être pris pour cible par des publicités tapageuses les incitant à la prostitution. Et les toutes récentes campagnes de dénonciation sur les harcèlements dont les femmes sont victimes sont aussi la triste preuve que l'on peut se taire pendant des années.

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Japanscope      29 octobre 2017

À lire ou à relire

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La Maison des Femmes      Ghada Hatem, 21 octobre 2017

Rencontre autour de Tchikan, avec Emmanuel Arnaud et Kumi Sasaki, animée par Ghada Hatem
La Maison des Femmes, 93 Saint-Denis, 15h30-18h

Plus d'infos

Les Soirées de Paris      Philippe Bonnet, 18 octobre 2017

​« Tchikan », qui vient de sortir aux éditions Thierry Marchaisse, est le récit poignant d’une femme de trente ans qui se souvient d’un calvaire de jeunesse banalisé par l’ampleur du phénomène.

A douze ans, on ne comprend pas. Quand elle sent quelque chose de dur contre elle, elle pense que c’est un parapluie. Trajet après trajet Kumi comprend qu’il s’agit d’autre chose. Car l’expérience se répète au quotidien, raconte l’auteur qui souligne que c’est bien la répétition d’une souffrance qui caractérise la torture. Elle en parle à son professeur qui compatit. Elle s’en ouvre à sa mère qui se demande s’il n’y pas quelque chose dans la façon de s’habiller de sa fille qui pourrait provoquer de tels comportements, induisant en cela un début de culpabilité.

« Tchikan » est raconté très simplement. Le texte s’aère de temps à autre, de dessins explicatifs qui pourraient être jolis s’ils ne dénonçaient une réalité quand même insupportable. Kumi Sasaki raconte que les prédateurs dont elle a été la victime sont tous les mêmes. Que l’environnement des transports bondés favorise les attouchements subreptices, souvent beaucoup plus appuyés.

Dans ce contexte les petites proies n’ont aucune chance. Leurs plaintes ont peu de chance d’aboutir. D’autant qu’il y a eu des cas « imaginaires » relatés dans les journaux. Bref le silence prévaut. Alors même si Kumi a parfois les « genoux qui tremblent », elle regarde un jour « son » tchikan « droit dans les yeux » et lui dit « kané ». Ce qui veut dire qu’elle lui réclame de l’argent. C’est l’effet terrible d’une perversion qui a fait son chemin dans la tête d’une enfant à l’aube de son adolescence.

​Nous pensons être alors au bout du chemin de croix que Kumi Sasaki nous invite à emprunter. Mais non. La souffrance profonde est indicible et nous ne l’avons pas encore entendue. Car Kumi a décidé de se suicider. [...]


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Radio Classique      Béatrice Mouédine, 16 octobre 2017

Flash Infos, 11h,  16 octobre 2017

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Le Quotidien de La Réunion      Stéphanie Buttard, 15 octobre 2017

Dans l'ombre du tchikan

[...] Kumi Sasaki a aujourd'hui 33 ans. Si elle est venue vivre en France, c'est en partie pour échapper à ce Japon-là. 

Son témoignage a mis longtemps à pouvoir sortir. D'une plume à la fois naïve et percutante, elle raconte son histoire [...].

Certes le Japon n'a pas l'exclusivité du harcèlement. Mais sur une terre à la culture millénaire fabuleuse, cette abjecte réalité en surprendra plus d'un.

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L'avis textuel de Marie M.      ​Marie Martinez, 5 octobre 2017

Tchikan ou prédateur sexuel de petites filles

[...] C'est sa propre expérience que raconte Kumi Sasaki avec Emmanuel Arnaud dans Tchikan. De l'âge de 12 ans jusqu'à son entrée en université, elle a subi quotidiennement les assauts de ces messieurs-tout-le-monde aux heures de pointe dans les transports en commun sans être vraiment entendue par les adultes.

Son vibrant et sidérant témoignage, alors qu'elle a maintenant 33 ans et vit à Paris, nous plonge dans le désarroi et l'isolement qu'elle a ressenti à cette époque, à hauteur de petite fille pétrifiée, avec dessins à l'appui. Son cas et son traumatisme, comme les chiffres l'indiquent, sont loin d'être isolés.

Nous espérons, comme elle, que son récit pourra lever le voile sur ce grave fait de société, aider d'autres jeunes victimes, et éveiller les consciences face à l'impunité des prédateurs, au Japon comme partout dans le monde.

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L'Info Tout Court      Mélina Hoffmann, 30 septembre 2017

Tchikan : un témoignage sobre sur ces prédateurs des transports en commun

Tchikan nous emmène dans les coulisses des transports en commun au Japon. Là où des hommes ordinaires se changent en prédateurs invisibles aux heures de pointe. Dans ce récit pudique et sans fioritures, Kumi Sakasi nous livre son histoire.
Un témoignage stupéfiant. En suivant ainsi Kumi Sakasi dans le quotidien de l’adolescente qu’elle a été, c’est un phénomène assez peu connu que nous découvrons. Ou en tout cas peu médiatisé. De sa voix d’enfant, la jeune femme raconte l’incompréhension, la honte, la peur ; mais aussi la solitude, la culpabilité, et parfois même le désespoir qui ont été son quotidien à partir de ses 12 ans. Avec des mots et des illustrations, elle raconte une réalité difficile à imaginer. Réalité qu’elle a fini par fuir, pour ne pas sombrer.
Pleins phares sur un tabou sociétal. Difficile de ne pas être surpris en découvrant l’ampleur de ce phénomène. Surtout dans un pays réputé être l’un des plus sûrs du monde. Plus surprenante encore la manière dont la société toute entière semble préférer fermer les yeux sur cette violence quotidienne ou, pire, lui trouver des justifications. Et parce qu’évidemment, le Japon n’a pas l’exclusivité de ce genre de harcèlement, ce témoignage est plus que nécessaire.

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Needradio      "Le Talk Show", 26 septembre 2017

Le harcèlement

Chronique de Tchikan par Marie-Claire. Émission "Le Talk Show".
​Mardi 26 septembre 2017, 21H-23H (> 84 mn).

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