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Récit
14,90 €, 128 p.
ISBN : 978-2-36280-188-4
Format : 140/205 mm
Parution : 5 octobre 2017
Disponible en Ebook (9,99 €)
ISBN : 978-2-36280-188-4
Format : 140/205 mm
Parution : 5 octobre 2017
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Lucas Menget
Lettres de Bagdad |
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« Son témoignage écorne très sérieusement, et à juste raison, les clichés sur ce pays » - Charlie Hebdo
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Babelio Brispan, 28 février 2018
Un récit glaçant sur le harcèlement au Japon et la sexualisation des petites filles. Comment, sous prétexte de ne pas faire de vague, on livre en pâture à de gros pervers des jeunes filles en construction, qui intègreront donc comme quasi normale l'abjecte attitude des hommes envers elles.
Bouleversant.
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Bouleversant.
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Voyage dans mon univers livresque 21 février 2018
Un récit poignant relatif au harcèlement quotidien des filles et des femmes dans les transports en commun [...]
Kumi Sasaki témoigne avec ce récit de la violence des actes de ces hommes, voyageurs en costume-cravate, la plupart des salaryman, de son expérience mortifère l’ayant conduit à quitter le Japon. Mains sous la jupe, attouchements réguliers par des hommes sans nom et sans visage. Comment avoir une vie amoureuse épanouie lorsque tant d’hommes s’agitent à la vue d’une petite collégienne en tenue d’école ? Lorsque, chaque jour, nous sommes un objet de désir impuissant et dominé sans possibilité d’agir ?
L’auteur laisse la parole à la petite fille qu’elle était lorsque tout a commencé. Comme si elle était restée dans ce corps, figée dans cette enfance douloureuse. Aujourd’hui, elle choisit l’écriture pour porter cette voix que tous ont refusé d’entendre. Un récit poignant dénonçant les comportements pervers et vicieux des hommes, et plus largement d’une société hypocrite.
Je conseille la lecture de ce récit d’une grande sincérité. La vérité sort de la bouche des enfants, Kumi adresse cet écrit honnête et questionne le lecteur de manière naïve pour transmettre la souffrance et la profonde solitude qu’elle éprouvait. Ne passez pas votre chemin sur ce témoignage d’une douceur désespérante…
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Kumi Sasaki témoigne avec ce récit de la violence des actes de ces hommes, voyageurs en costume-cravate, la plupart des salaryman, de son expérience mortifère l’ayant conduit à quitter le Japon. Mains sous la jupe, attouchements réguliers par des hommes sans nom et sans visage. Comment avoir une vie amoureuse épanouie lorsque tant d’hommes s’agitent à la vue d’une petite collégienne en tenue d’école ? Lorsque, chaque jour, nous sommes un objet de désir impuissant et dominé sans possibilité d’agir ?
L’auteur laisse la parole à la petite fille qu’elle était lorsque tout a commencé. Comme si elle était restée dans ce corps, figée dans cette enfance douloureuse. Aujourd’hui, elle choisit l’écriture pour porter cette voix que tous ont refusé d’entendre. Un récit poignant dénonçant les comportements pervers et vicieux des hommes, et plus largement d’une société hypocrite.
Je conseille la lecture de ce récit d’une grande sincérité. La vérité sort de la bouche des enfants, Kumi adresse cet écrit honnête et questionne le lecteur de manière naïve pour transmettre la souffrance et la profonde solitude qu’elle éprouvait. Ne passez pas votre chemin sur ce témoignage d’une douceur désespérante…
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Garow.me Elaine Barlow, février 2018
Men who grope women on crowded trains, known as #chikan in Japanese, are a serious problem. There have been a variety of strategies taken to help protect against chikan, from women-only trains to stickers of shame that are impossible to wash off, which women can stamp on their attacker’s hand. #KumiSasaki is on such victim of chikan, who recently published a book chronicling her traumatizing experiences.[...]
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Garow.me Rachel Els, février 2018
Un récit poignant sur une réalité que l'on refuse de voir dans un pays où le taux de criminalité est le plus bas du monde.... Je recommande la lecture de cet incroyable récit ! [...]
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Garow.me Cyrille Bonin, février 2018
Impressionnant court récit de la jeune japonaise Kumi Sasaki : elle raconte l’enfer des jeunes japonaises (12-18ans) victimes des Tchikan et des stalkers (En gros des frotteurs des métros et des trains bondés des grandes villes japonaises), sa vie d’enfant et d’ado innocente des histoires de sexe et de perversion, victime de salarymans à moitié déshumanisé. Ah oui c’est pas un roman, c’est un récit, ponctué d’illustrations toutes simples. C’est terrible, révoltant, ça en dit long sur les sociétés malades, le patriarcat, la perversion. Ça m’a pas mis bien du tout, mais le livre est d’utilité publique, notamment pour les jeunes filles et les jeunes garçons (l’ado japonaise a été au bord du suicide et à quitté son pays pour vivre en France) [...]
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Book.Node Tiiva, 4 février 2018
Je suis ressortie de ma lecture complètement choqué. Choqué d’apprendre que c’est si banale là bas et que personne ne fait rien. Étouffer l’affaire, la banaliser. Mais où va t-on ? Sous prétexte que c’est qu’un problème occidental. Que des petites filles subissent ça tous les jours et en viennent à en parler, à comparer, à la cour de récré comme si c’était normal.
Je ne classe jamais les livres « réels », classant que les fictions car je trouve ça difficile d’évaluer un vécu. Mais celui là m’a mis une grande claque et mérite vraiment qu’on le lise. Ça serait vraiment un livre que je classerai « À lire absolument ».
J’espère que les mœurs évolueront dans ce pays.
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Je ne classe jamais les livres « réels », classant que les fictions car je trouve ça difficile d’évaluer un vécu. Mais celui là m’a mis une grande claque et mérite vraiment qu’on le lise. Ça serait vraiment un livre que je classerai « À lire absolument ».
J’espère que les mœurs évolueront dans ce pays.
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Babelio Lesleoneries, 12 janvier 2018
Ce livre est touchant, intéressant, sensible. L'objet lui-même est également une pépite, la couverture est travaillée et délicate tandis que de jolis dessins agrémentent le texte. Véritable plaisir !
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Babelio Impression de lecteur, 29 décembre 2017
Livre est très bien écrit, il est aussi très bien illustré. Ce livre a, d'abord, pour objectif d'informer sur le phénomène des « tchikans » ; pervers qui pratiquent des attouchements sur les enfants et adolescentes dans les transports en commun de Tokyo. Kumi S. est très critique envers les media japonais. Elle les accuse d'organiser le « Enjo-Kosai », relations tarifées entre un homme adulte et une enfant ou une adolescente. Ce livre a, ensuite, pour objectif de changer les choses notamment l'impunité dont jouissent les tchikans.
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Babelio Yunyun, 23 décembre 2017
Bouleversant, déroutant et émouvant, tel est le récit de Kumi Sasaki qui est un écho à l'actualité.
[...]
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[...]
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Babelio Mero, 6 décembre 2017
[...] Un petit livre qui ne laisse pas indifférent. La couverture est très jolie. Elle y a incorporé des dessins comme aiment le faire les enfants. Comme si sa vie s'était brusquement interrompue ce jour où elle a été la proie de son premier tchikan.
Un témoignage sur un phénomène de société qui ne désemplit pas et trouve même son business dans l'industrie du porno.
Le récit de Kumi m'a touché. La détresse avec laquelle elle s'est heurtée à l'indifférence des gens et de sa famille également.
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Un témoignage sur un phénomène de société qui ne désemplit pas et trouve même son business dans l'industrie du porno.
Le récit de Kumi m'a touché. La détresse avec laquelle elle s'est heurtée à l'indifférence des gens et de sa famille également.
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Le Monde de l'écriture Elodie Janssens, 5 décembre 2017
[...] J'ai volontairement oublié de préciser le pays parce que mon texte est aussi une dénonciation plus générale du harcèlement dans les transports. Et les chinois n'en ont pas le monopole. Ils auraient pu s'appeler Marie et Ferdinand, sauf que Ferdinand aurait oublié de "dire merci".
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Les Chroniques mortes ou vives Christine Robledo, 1 décembre 2017
Japon : les « chikans »
Au Japon, ils sont appelés les « chikans », des prédateurs sexuels, de bons pères de famille et employés modèles qui profitent de la promiscuité des wagons bondés à Tokyo et Osaka pour pratiquer des attouchements discrets sur des collégiennes.
Victime de ces pervers sexuels entre 12 et 18 ans, Kumi Sasaki, âgée aujourd’hui d’une trentaine d’années, a décidé de raconter à travers sa propre histoire ce que subissent des milliers de jeunes filles japonaises dans ces wagons de transports en commun toujours surpeuplés.
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Au Japon, ils sont appelés les « chikans », des prédateurs sexuels, de bons pères de famille et employés modèles qui profitent de la promiscuité des wagons bondés à Tokyo et Osaka pour pratiquer des attouchements discrets sur des collégiennes.
Victime de ces pervers sexuels entre 12 et 18 ans, Kumi Sasaki, âgée aujourd’hui d’une trentaine d’années, a décidé de raconter à travers sa propre histoire ce que subissent des milliers de jeunes filles japonaises dans ces wagons de transports en commun toujours surpeuplés.
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Valérie Tong Cuong 12 novembre 2017
En cette époque où les femmes se dressent contre le #harcelement, les abus et les violences sexuelles, #Tchikan révèle au travers d’un témoignage glaçant la situation particulière du Japon mais aussi la mécanique infernale (et universelle) qui entraîne les enfants vers le fond, les conduisant parfois jusqu’au suicide lorsqu’ils ne sont ni entendus, ni défendus par un entourage qui refuse de voir - mécanique qui pour ceux qui n’iront pas jusqu’à cette extrémité, génère des adultes irrémédiablement brisés.
Merci @lydiezannini pour ce conseil. Une lecture, souvent crue, forcément dérangeante et c’est très bien ainsi.
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Merci @lydiezannini pour ce conseil. Une lecture, souvent crue, forcément dérangeante et c’est très bien ainsi.
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