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Essai
16,90 €, 200 p.
ISBN : 978-2-36280-183-9
Format : 140/205 mm
Parution : 15 juin 2017
Disponible en Ebook (10,99 €)
ISBN : 978-2-36280-183-9
Format : 140/205 mm
Parution : 15 juin 2017
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Collection Lettres à ...
Jean-Marc Lévy-Leblond (sld)
Lettres à Alan Turing |
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Dictionnaire des mots manquants |
On en parle
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Musée Flaubert Rencontre, Philippe Delerm 9 décembre 2017
Bon anniversaire Monsieur Flaubert
Rencontre - Lecture, avec Yvan Leclerc et Philippe Delerm
Samedi 9 décembre 2017, 14h30-18h
Musée Flaubert, Rouen
Plus d'infos
Rencontre - Lecture, avec Yvan Leclerc et Philippe Delerm
Samedi 9 décembre 2017, 14h30-18h
Musée Flaubert, Rouen
Plus d'infos
La Cause Littéraire Martine L. Petauton, 25 octobre 2017
Original, le concept de la collection. Réunir un lot – bien choisi, compétent, passionné qui plus est – d’auteurs, tous pignon sur rue littéraire, et les faire « écrire à » ces monstres sacrés de la grande littérature, celle des Classiques. Prudente, pour autant, la démarche, puisque le maître d’œuvre, et souvent une bonne partie de l’équipage, sont savants dans le destinataire des lettres, son œuvre comme sa personne, assez pour s’autoriser le parfum d’aventure du projet : un roboratif jouissif passant à chaque page ! Enfin – dira-t-on jamais assez que derrière chaque livre, il y a le maillon-éditeur, Thierry Marchaisse appartient à ce genre, rare, de ceux qui savent bâtir le livre, agencer une construction, en architecte de haute maîtrise, faisant bellement partie, en ça, du bonheur de lire.
[...] Yvan Leclerc, spécialiste du maître et notamment de sa correspondance, « en vrai », a dirigé une fine équipe, d’universitaires versés en la matière, mais aussi d’auteurs aguerris tout bonnement passionnés des écrits Flaubertiens, capables à l’occasion de se souvenir de leur rencontre avec l’auteur, ou avec ses personnages – celui de Bovary tenant fermement la corde. Ils sont d’ici ou de plus loin ; le regard étranger étant, on s’en doute, mieux que passionnant, par le canal d’une francophonie bien vivante.
L’agencement de ces lettres est à la fois amusant et fort pertinent, puisque on nous donne à ouvrir la boîte « cher Gustave », celle « cher Gustave Flaubert », puis « cher (monsieur) Flaubert » suivie de « Maître » pour finir sur celle de « Monsieur »… comme un éloignement progressif jonglant avec des proximités d’affects, des connivences tenues plus ou moins en laisse, des prudences de hiérarchies supposées.
[...] Le niveau, tant écriture que sujet développé, est tout à fait remarquable d’un bout à l’autre du livre. On peut se plonger dans le genre essai-roman très réussi des contributions, mais, le chercheur peut aussi butiner d’utiles informations au bord des pages, au titre de Flaubert et de son œuvre, en soi.
Mais – vrai bonheur du lecteur – c’est être embarqué aux côtés de Flaubert, de mille façons inventives, inattendues, qui donne l’alléchant du livre et de son projet. A la manière, dans cette lettre, des enfants qui jouent à « faire comme si », où l’auteure conjugue au conditionnel et finit par : « on resterait un peu là, dans le vent normand, bras dessus, bras dessous, devant le joli vacarme mousseux de la mer, à profiter de l’instant », ou à celles, plus sérieuses, où se déclinent les Flaubertiens de l’Education et ceux de Madame, lui confiant : « difficile après vous de dire la vie monotone de la campagne, la fadeur provinciale, les aspirations déçues…». Cette lettre-là, aussi (« je viens de compter, cela fait plus de quarante ans que je décline votre œuvre ») toute entière consacrée à la phrase de l’Education – ce fut comme une apparition ». La jouissive relation de cet auteur-ci à Flaubert dans son épreuve lointaine de l’oral du CAPES, ou le rapport du maître aux mathématiques pour cet autre !
Quant à l’Histoire, la grande, ou la minutie du quotidien, un Flaubert en soi, et pas le moindre, elle est convoquée avec panache plus d’une fois. Il y a ceux également qui parlent en son nom avec belle insolence, écrivent ou répondent à Louise Collet, inventent ou brodent autour du monde flaubertien… Un « singe qui peint », personnage de tableau, se mêle de lui écrire et de lui dire, au nom des bêtes : « je t’aime, voilà tout ».
Tout se lit, se pèse, enrichit nos propres représentations, souvenirs, inventions autour d’Emma ou de Frédéric. On en arrive presque à regretter l’absence de ces pages blanches à la fin du livre – pour vos notes – où, nous aussi, on écrirait notre lettre à Flaubert…
Délicieuse balade, toujours savante au bout, revenant en boucle à Flaubert, redonnant à l’œuvre ce qui lui revient, et ouvrant par le biais sur ces auteurs de maintenant, leur pertinence, leur œuvre à eux aussi.
Bénéfice double – au moins – pour ce projet remarquablement réussi.
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[...] Yvan Leclerc, spécialiste du maître et notamment de sa correspondance, « en vrai », a dirigé une fine équipe, d’universitaires versés en la matière, mais aussi d’auteurs aguerris tout bonnement passionnés des écrits Flaubertiens, capables à l’occasion de se souvenir de leur rencontre avec l’auteur, ou avec ses personnages – celui de Bovary tenant fermement la corde. Ils sont d’ici ou de plus loin ; le regard étranger étant, on s’en doute, mieux que passionnant, par le canal d’une francophonie bien vivante.
L’agencement de ces lettres est à la fois amusant et fort pertinent, puisque on nous donne à ouvrir la boîte « cher Gustave », celle « cher Gustave Flaubert », puis « cher (monsieur) Flaubert » suivie de « Maître » pour finir sur celle de « Monsieur »… comme un éloignement progressif jonglant avec des proximités d’affects, des connivences tenues plus ou moins en laisse, des prudences de hiérarchies supposées.
[...] Le niveau, tant écriture que sujet développé, est tout à fait remarquable d’un bout à l’autre du livre. On peut se plonger dans le genre essai-roman très réussi des contributions, mais, le chercheur peut aussi butiner d’utiles informations au bord des pages, au titre de Flaubert et de son œuvre, en soi.
Mais – vrai bonheur du lecteur – c’est être embarqué aux côtés de Flaubert, de mille façons inventives, inattendues, qui donne l’alléchant du livre et de son projet. A la manière, dans cette lettre, des enfants qui jouent à « faire comme si », où l’auteure conjugue au conditionnel et finit par : « on resterait un peu là, dans le vent normand, bras dessus, bras dessous, devant le joli vacarme mousseux de la mer, à profiter de l’instant », ou à celles, plus sérieuses, où se déclinent les Flaubertiens de l’Education et ceux de Madame, lui confiant : « difficile après vous de dire la vie monotone de la campagne, la fadeur provinciale, les aspirations déçues…». Cette lettre-là, aussi (« je viens de compter, cela fait plus de quarante ans que je décline votre œuvre ») toute entière consacrée à la phrase de l’Education – ce fut comme une apparition ». La jouissive relation de cet auteur-ci à Flaubert dans son épreuve lointaine de l’oral du CAPES, ou le rapport du maître aux mathématiques pour cet autre !
Quant à l’Histoire, la grande, ou la minutie du quotidien, un Flaubert en soi, et pas le moindre, elle est convoquée avec panache plus d’une fois. Il y a ceux également qui parlent en son nom avec belle insolence, écrivent ou répondent à Louise Collet, inventent ou brodent autour du monde flaubertien… Un « singe qui peint », personnage de tableau, se mêle de lui écrire et de lui dire, au nom des bêtes : « je t’aime, voilà tout ».
Tout se lit, se pèse, enrichit nos propres représentations, souvenirs, inventions autour d’Emma ou de Frédéric. On en arrive presque à regretter l’absence de ces pages blanches à la fin du livre – pour vos notes – où, nous aussi, on écrirait notre lettre à Flaubert…
Délicieuse balade, toujours savante au bout, revenant en boucle à Flaubert, redonnant à l’œuvre ce qui lui revient, et ouvrant par le biais sur ces auteurs de maintenant, leur pertinence, leur œuvre à eux aussi.
Bénéfice double – au moins – pour ce projet remarquablement réussi.
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Parutions. com Gilles Ferragu, 25 octobre 2017
[...] Chacun se livre et cède un peu de sa profondeur pour avoir le privilège d’écrire au grand écrivain. Fawzia Zouari le fait avec grâce et humour, évoquant sa première rencontre avec Flaubert, et Emma, sous l’angle du marivaudage… Christine Montalbetti voyage avec l’écrivain dans une France flaubertisée, Pierre Bergounioux joue avec le temps et exhume/invente trois lettres que Flaubert lui-même se serait écrite, agréable mise en abyme de la collection même… un peu comme Belinda Cannone qui se mue en une Louise Colet folle d’amour pour son Gustave.
L’humour reste une donnée récurrente, et l’on invente beaucoup de nouveaux correspondants : Sebastian Garcia Barrera, via une improbable Mme Bienvenue, est tout fier de remettre un prix à l’auteur de Madame Bovary, Philippe Dufour imagine qu’un personnage de l’Education sentimentale adresse un billet à l’auteur, Daniel Sangsue évoque avec humour ses frustrations de lecteur érudit pour finir par s’en remettre au spiritisme, Benoît Dufau lit une lettre qui ne lui était pas destinée (elle était pour Maupassant), Jean-Marc Lévy-Leblond esquisse une leçon de maths. Certains se livrent de manière plus sobre, tel Philippe Delerm qui s’interroge sur son bonheur de candidat au CAPES, et sur le bonheur d’Emma, ou encore Posy Simmonds qui évoque à la plume et au pinceau sa découverte de l’œuvre. Le grand écrivain est, il est vrai, lu en anglais et Michel Winock s’intéresse, en spécialiste de l’histoire du «national», à l’enjeu de la traduction d’une langue si subtile.
Les contributions sont multiples, de l’hommage littéraire et érudit, ou sentimental, au pastiche et à la fantaisie : constatons que Flaubert pousse à la facétie comme au respect, mais toujours avec le souci, constant, des mots et de la langue : c’est peut-être la vertu d’un maître que, même absent, il impose son exigence de style.
Un ouvrage à la fois drôle et érudit, subtil et enthousiaste, pour les amateurs de Flaubert certes, mais plus largement pour tous ceux qui attendent encore du plaisir de la langue et de la littérature, comme une promenade inspirée dans les marges de l’œuvre.
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L’humour reste une donnée récurrente, et l’on invente beaucoup de nouveaux correspondants : Sebastian Garcia Barrera, via une improbable Mme Bienvenue, est tout fier de remettre un prix à l’auteur de Madame Bovary, Philippe Dufour imagine qu’un personnage de l’Education sentimentale adresse un billet à l’auteur, Daniel Sangsue évoque avec humour ses frustrations de lecteur érudit pour finir par s’en remettre au spiritisme, Benoît Dufau lit une lettre qui ne lui était pas destinée (elle était pour Maupassant), Jean-Marc Lévy-Leblond esquisse une leçon de maths. Certains se livrent de manière plus sobre, tel Philippe Delerm qui s’interroge sur son bonheur de candidat au CAPES, et sur le bonheur d’Emma, ou encore Posy Simmonds qui évoque à la plume et au pinceau sa découverte de l’œuvre. Le grand écrivain est, il est vrai, lu en anglais et Michel Winock s’intéresse, en spécialiste de l’histoire du «national», à l’enjeu de la traduction d’une langue si subtile.
Les contributions sont multiples, de l’hommage littéraire et érudit, ou sentimental, au pastiche et à la fantaisie : constatons que Flaubert pousse à la facétie comme au respect, mais toujours avec le souci, constant, des mots et de la langue : c’est peut-être la vertu d’un maître que, même absent, il impose son exigence de style.
Un ouvrage à la fois drôle et érudit, subtil et enthousiaste, pour les amateurs de Flaubert certes, mais plus largement pour tous ceux qui attendent encore du plaisir de la langue et de la littérature, comme une promenade inspirée dans les marges de l’œuvre.
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Yozone Hilaire Albrune, 7 août 2017
Gustave Flaubert sur la Yozone, pourquoi ? Parce que Flaubert est entre autres un immense charrieur d’images, parce que comme bien des auteurs classiques il n’a jamais dédaigné le fantastique, parce que les lecteurs de "fantasy", au-delà des effets de mode, et après avoir lu bien des proses honorables, découvrent avec effarement que bien avant Howard, bien avant Tolkien, un Normand que les moins curieux ont tendance à considérer comme un simple pensum scolaire avait écrit un roman bien plus fort que tout ce qui se fait dans le genre de nos jours, un roman qui est allé jusqu’à inspirer Philippe Druillet, grand amateur d’imaginaire devant l’éternel, pour une adaptation sidérante, et même sidérale, de ce fameux Salammbô.
Cette belle moisson d’apocryphes démontre au lecteur que tout le monde peut écrire à Flaubert, et que l’idée de cette anthologie singulière peut donner lieu à des variations sans fin, et totalement inattendues.
Dans son intéressante préface, Yvan Leclerc souligne que le carnet d’adresses de Flaubert comprenait deux-cent-soixante-dix-neuf correspondants, et qu’au terme de ce volume il dépasse les trois cents. Ce nouvel échantillon en valait assurément la peine. Exercices d’admiration mais aussi d’imagination, ces « Lettres à Flaubert », festival de références évidentes ou subtiles, rendent hommage avec émotion, érudition, et parfois également avec humour, à l’influence considérable que Flaubert continue à exercer sur les auteurs et sur la littérature.
« Madame Bovary, c’est moi » : on devine que pour beaucoup cette influence, cette imprégnation sont telles qu’il y a une pointe de « Flaubert, c’est devenu presque moi. » Une raison de plus pour lire et relire Flaubert, et une ample justification à ce bel essai décliné sur le mode épistolaire.
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Cette belle moisson d’apocryphes démontre au lecteur que tout le monde peut écrire à Flaubert, et que l’idée de cette anthologie singulière peut donner lieu à des variations sans fin, et totalement inattendues.
Dans son intéressante préface, Yvan Leclerc souligne que le carnet d’adresses de Flaubert comprenait deux-cent-soixante-dix-neuf correspondants, et qu’au terme de ce volume il dépasse les trois cents. Ce nouvel échantillon en valait assurément la peine. Exercices d’admiration mais aussi d’imagination, ces « Lettres à Flaubert », festival de références évidentes ou subtiles, rendent hommage avec émotion, érudition, et parfois également avec humour, à l’influence considérable que Flaubert continue à exercer sur les auteurs et sur la littérature.
« Madame Bovary, c’est moi » : on devine que pour beaucoup cette influence, cette imprégnation sont telles qu’il y a une pointe de « Flaubert, c’est devenu presque moi. » Une raison de plus pour lire et relire Flaubert, et une ample justification à ce bel essai décliné sur le mode épistolaire.
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[Verso-Hebdo] Gérard-Georges Lemaire, 15 juin 2017
L'idée de ces lettres envoyées à de grands écrivains du passé (il y a eu déjà eu un volume sur Sade et autre sur Shakespeare) est vraiment excellente. Ces Lettres à Flaubert rassemblent des écrivains de tous les genres et leurs interventions constituent une multitude points de vue sur l'auteur de Novembre.
Ce sont toutes des oeuvres de fiction, mais plus ou moins savantes : beaucoup tiennent à montrer qu'ils ont une connaissance assez approfondie de cet auteur singulier. Il y a même une lettre anonyme ! Ce ne sont pas des lectures au sens propre du terme, mais toujours, quelle que soit la forme adoptée, l'histoire d'une relation avec l'homme et surtout ses écrits. [...]
C'est assez drôle parfois et parfois déconcertant. Mais rien n'est dépourvu de valeur. Le plus beau de ces textes est à mon avis celui de Belinda Cannone, qui s'est glissé dans le personnage de Louise Colet et qui a su imprimer à ses lignes de la sensualité, des sentiments partagés et complexes, de la fougue, du tempérament et une foncière originalité dans le ton. Elle ne plastronne pas. Elle vit ce qu'elle écrit, éperdument.
[...]
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Ce sont toutes des oeuvres de fiction, mais plus ou moins savantes : beaucoup tiennent à montrer qu'ils ont une connaissance assez approfondie de cet auteur singulier. Il y a même une lettre anonyme ! Ce ne sont pas des lectures au sens propre du terme, mais toujours, quelle que soit la forme adoptée, l'histoire d'une relation avec l'homme et surtout ses écrits. [...]
C'est assez drôle parfois et parfois déconcertant. Mais rien n'est dépourvu de valeur. Le plus beau de ces textes est à mon avis celui de Belinda Cannone, qui s'est glissé dans le personnage de Louise Colet et qui a su imprimer à ses lignes de la sensualité, des sentiments partagés et complexes, de la fougue, du tempérament et une foncière originalité dans le ton. Elle ne plastronne pas. Elle vit ce qu'elle écrit, éperdument.
[...]
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Les Soirées de Paris Philippe Bonnet, 13 juin 2017
Ces « Lettres à Flaubert », pour la plupart aussi érudites qu’inspirées, sont plaisantes à lire indépendamment de qu’elles contiennent en admiration, amour et reconnaissance. Ce livre en est la mutualité. [...]
Ce bon livre nous perfuse un soluté bienfaisant de propriétés émancipatrices, via cet homme disparu bien jeune à 58 ans. [...]
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Ce bon livre nous perfuse un soluté bienfaisant de propriétés émancipatrices, via cet homme disparu bien jeune à 58 ans. [...]
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Actualitté Victor De Sepausy, 22 mai 2017
Si la possibilité vous était donnée de rédiger une lettre à l’un des grands noms de la littérature française — et que, le hasard faisant bien les choses, vous en veniez à choisir Flaubert. Eh bien les éditions Marchaisse ont donné à une sacrée poignée d’auteurs le soin d’écrire ces fameux courriers. De la belle ouvrage, assurément.
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