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Sophie Caratini
Antinéa mon amour

Antinea mon amour
« La vie dans le Groupe Nomade, c’est quelque chose de très intéressant à approfondir, et même de très important : toute la relation coloniale s’est construite là. Vous n’en trouverez rien dans les archives car on ne parlait pas de notre vie quotidienne dans nos rapports. »

Jean du Boucher, officier de la petite noblesse gasconne, raconte ici la conquête du territoire des grands nomades Rgaybat, à laquelle il a pris part dans les années 30,  et comment il est tombé sous le charme de ces « Salopards » qu’il rêvait de combattre. Devenu un fin connaisseur des savoirs sahariens, il est resté toute sa vie éperdument amoureux de la Mauritanie, cette Antinéa de sable à la beauté impitoyable.

« C’était ça qui me fascinait : vivre en nomade parmi les nomades, conquérir tous ces espaces, caracoler en d'Artagnan du désert. Le pouvoir de fascination du Sahara sur les officiers méharistes… c’est quelque chose. Moi, je l’ai vécu. Pas vous ? »

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Récit

22 €, 424 p.
ISBN : 978-2-36280-158-7
Format : 140/205 mm
Parution : 19 janvier 2017
Disponible en Ebook (13,99 €)

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L'auteur

Lucas Menget
Sophie Caratini est écrivain et anthropologue. Spécialiste de la Mauritanie et du Sahara Occidental, elle est directrice de recherche émérite au CNRS.
​
Avec La fille du chasseur (TM, 2011) et Les sept cercles. Une odyssée noire (TM, 2015), ce volume complète sa trilogie historique sur le choc des cultures – maure, peule et française – dont les régions sahariennes furent le théâtre.

Le livre

Le général Jean du Boucher, né en 1910, est originaire d’une lignée d’officiers saint-cyriens. Affecté dans l’unité méhariste chargée de conquérir l’extrême Nord de la Mauritanie de 1933 à 1935, il se voit confier le commandement d’une section de tirailleurs sénégalais.
 
Il apprend alors le dur métier de chamelier, l’art de la chasse à la gazelle, découvre la société maure où il prend successivement deux concubines, et rêve de combattre ces seigneurs du désert que sont les Rgaybat.
 
Fruit de la rencontre improbable entre une jeune anthropologue gauchiste et un vieux général gascon, l'histoire de ce d'Artagnan du désert ouvre des perspectives inattendues sur le choc de la rencontre coloniale en Mauritanie et vient clore la trilogie de Sophie Caratini aux éditions TM.
​

Une trilogie coloniale

Antinéa mon amour constitue le volet français de la trilogie coloniale de Sophie Caratini.
​Cette grande saga, tout à la fois littéraire, anthropologique et historique, ne forme pas une suite chronologique mais une tresse de récits, qui peuvent se lire séparément. S’y croisent les destins de trois personnalités hors normes représentant les cultures qui se sont entrechoquées sur les territoires de l’Ouest saharien. Ainsi mis en perspective, les points de vue maure, peul et français donnent des clés précieuses pour comprendre le choc de la rencontre coloniale et ses répercussions sur ceux qui l’ont vécue, comme sur l’époque actuelle où ne cessent d’affleurer ses effets interminables. 

Antinéa mon amour nous fait découvrir la vision des conquérants à travers le témoignage du général Jean du Boucher. Les Sept Cercles, une odyssée noire raconte les tribulations de Moussa Djibi Wagne, un paysan peul de Mauritanie engagé à son corps défendant comme tirailleur sénégalais dans un Groupe Nomade ou « GN ». La Fille du chasseur retrace la vie de Mariem mint Touileb, fille de goumier, née en plein désert à la fin des années trente dans la tribu maure des chasseurs nomades Nmadi. 

Les trois récits ont le même foyer narratif : les unités méharistes de l’infanterie de marine qui ont conquis puis contrôlé le territoire septentrional de la Mauritanie entre 1933 et 1960. Mais chacun rayonne bien au-delà du moment colonial qu’il relate. Tous ont également la même structure singulière : un dialogue à une voix, écrit à la première personne. L’auteur, à qui le narrateur ou la narratrice s’adresse, n’y apparaît qu’en creux. 

Qu’on ne s’y trompe pas cependant, les personnages sont des personnes et leurs propos, authentiques, résultent d’une transposition littéraire d’entretiens réels effectués sur plusieurs années. En choisissant de s’effacer de la narration et de n’y faire apparaître aucun appareil savant, l’auteur a certes pris le risque de brouiller la frontière entre document et roman, mais c’était là le meilleur moyen de mettre en valeur la force exceptionnelle des paroles ainsi recueillies. ​

​Comme les trois mousquetaires étaient quatre, cette trilogie comportera un quatrième et ultime volume, où l’anthropologue jusque-là silencieuse montera à son tour sur scène, avec armes et bagages scientifiques. Elle y dévoilera les coulisses de cette aventure au long cours et s’attachera à montrer ce que sa triple perspective apporte à l’histoire de la Mauritanie et à la compréhension des effets de la colonisation. 
​

Françoise Héritier en parle : « j’ai été enthousiasmée et saisie... »

« De manière différente que pour l'histoire du lieutenant du Boucher, j’ai été enthousiasmée et saisie devant la véracité et “l’épaisseur” anthropologique mais aussi psychologique du personnage de Mariem et de l’histoire de sa vie, qui est celle de son peuple. Je pense qu’un lecteur non ethnologue peut saisir, dans ce récit et grâce à votre écriture (l’histoire du pyjama du frère, par exemple), l’importance de ce qui fait une culture partagée.
Soyez assurée que je lirai le prochain volume annoncé avec la même délectation. »
Françoise Héritier, 7 aout 2011
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Édition définitive

Une première version de ce récit est parue sous le titre L’Éducation saharienne d’un képi noir (L’Harmattan, 2002), puis une seconde sous le titre La Dernière Marche de l’Empire (La Découverte, 2009). La présente édition a été entièrement refondue pour respecter le principe dialogique propre à cette trilogie. Par ailleurs une nouvelle ouverture et l’ajout de nombreux passages permettent au lecteur de mieux entrevoir la totalité du parcours de Jean du Boucher.
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