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Sophie Caratini
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Essai
18 €, 192 p.
Collection : Les non-dits
ISBN : 978-2-36280-010-8
Format : 140/205 mm
Parution : 6 novembre 2012
Disponible en Ebook (12,99 €)
Collection : Les non-dits
ISBN : 978-2-36280-010-8
Format : 140/205 mm
Parution : 6 novembre 2012
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Babelio
Livre utile à tous les débutants en sciences humaines de terrain, pas seulement aux ethnologues.
Lire le commentaire complet de Nilebeh sur Babelio
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Babelio
L’anthropologie devient intéressante quand l’anthropologue parvient à garder son regard extérieur, d’occidental, tout en se mêlant à la vie des populations/personnes qu’il observe.
Lire le commentaire complet de LyJazz sur Babelio
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Babelio
L'anthropologie a pour visée de décrire et d'étudier, le plus scientifiquement possible, l'Autre.
Seulement, comment étudier l'Autre sans agir et interférer avec lui et du fait sans "fausser" les résultats ?
C'est de ce non-dit (et de bien d'autres) que nous parle Sophie Caratini, dans cet essai riche et passionnant.
Des générations d'anthropologues et d'ethnologues, par souci "scientifique", ont occulté volontairement ou non dans leurs travaux, la part sensible, subjective et/ou personnelle de leur rencontre et de leurs rapports avec leur "sujet" d'étude, et ce afin de coller au plus près des méthodes et des discours attendus et imposés par la communauté des chercheurs.
Cependant, comme le dit très bien Sophie Caratini, ce qui amène un chercheur à étudier tel ou tel Autre, c'est un faisceau de hasards, de manipulations, de chances (ou de malchances), de choix inconscients...
Omettre ce faisceau d'événements est, pour l'anthropologue, cacher une partie de son travail et de son analyse.
En incitant les chercheurs à exprimer cette part de vécu et de subjectif (au risque de paraître moins "scientifiques"), l'auteur nous donne à lire aussi ce qui fait la valeur et l'intérêt de cette recherche : l'anthropologie est, avant d'être une science, la rencontre d'êtres humains.
Adressé aux étudiants et aux chercheurs de la communauté, cet essai, écrit avec finesse et sans tomber dans le jargon technique et universitaire, ne manquera pas d'intéresser le grand public, séduit par la question de l'étude de l'Autre.
Lire le commentaire complet de Malahide sur Babelio
Seulement, comment étudier l'Autre sans agir et interférer avec lui et du fait sans "fausser" les résultats ?
C'est de ce non-dit (et de bien d'autres) que nous parle Sophie Caratini, dans cet essai riche et passionnant.
Des générations d'anthropologues et d'ethnologues, par souci "scientifique", ont occulté volontairement ou non dans leurs travaux, la part sensible, subjective et/ou personnelle de leur rencontre et de leurs rapports avec leur "sujet" d'étude, et ce afin de coller au plus près des méthodes et des discours attendus et imposés par la communauté des chercheurs.
Cependant, comme le dit très bien Sophie Caratini, ce qui amène un chercheur à étudier tel ou tel Autre, c'est un faisceau de hasards, de manipulations, de chances (ou de malchances), de choix inconscients...
Omettre ce faisceau d'événements est, pour l'anthropologue, cacher une partie de son travail et de son analyse.
En incitant les chercheurs à exprimer cette part de vécu et de subjectif (au risque de paraître moins "scientifiques"), l'auteur nous donne à lire aussi ce qui fait la valeur et l'intérêt de cette recherche : l'anthropologie est, avant d'être une science, la rencontre d'êtres humains.
Adressé aux étudiants et aux chercheurs de la communauté, cet essai, écrit avec finesse et sans tomber dans le jargon technique et universitaire, ne manquera pas d'intéresser le grand public, séduit par la question de l'étude de l'Autre.
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Tagrawla
Voilà un essai salutaire pour l'anthropologie et d'ailleurs pour les sciences sociales en général.
L'auteur aborde la question de l'impact de l'histoire personnelle et de la culture d'origine de l'anthropologue sur la façon qu'il aura de percevoir, d'analyser et de comprendre l'objet de ses recherches : une autre culture. [...]
Lire le commentaire complet sur Tagrawla Ineqqiqi
L'auteur aborde la question de l'impact de l'histoire personnelle et de la culture d'origine de l'anthropologue sur la façon qu'il aura de percevoir, d'analyser et de comprendre l'objet de ses recherches : une autre culture. [...]
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Espaces réflexifs
J’ai lu hier un ouvrage que j’ai… dévoré, avouons-le ! Je pourrais vous en faire un résumé mais j’aurais peur d’en dénaturer le contenu. D’autant que l’auteur (Sophie Caratini – Directeur de recherches, CNRS) nous raconte quelques expériences de terrain très personnelles que j’ai adorées.
Voilà ce que je voudrais lire et entendre de la part des anthropologues : la part manquante dans leurs propos, celle de l’émotion qui rapproche.
Lire le commentaire complet sur Hypotheses.org
Voilà ce que je voudrais lire et entendre de la part des anthropologues : la part manquante dans leurs propos, celle de l’émotion qui rapproche.
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Espaces réflexifs
J’adore Tristes Tropiques, parce que je marche sur les pas de Claude Lévi-Strauss. Et je m’enfonce dans la pensée intime de l’auteur qui se livre. Comme pour l’ouvrage de Sophie Caratini, Les non-dits de l’anthropologie, je découvre l’homme au-délà de l’ethnologue, je découvre toute l’humanité contenue dans ses mots qui font écho à ma pensée et me bouleversent. Je vis ce livre ! Je le vis parce que Claude Lévi-Strauss nous le donne à vivre loin de la froideur de la rigueur scientifique mais au plus près de la douceur de l’émotion scientifique.
Et je chéris tous ces ouvrages, toutes ces oeuvres qui me dépaysent, qui m’offrent la puissance d’un lointain, d’un ailleurs, ici, là ou là-bas...
Lire le commentaire complet sur Hypotheses.org
Et je chéris tous ces ouvrages, toutes ces oeuvres qui me dépaysent, qui m’offrent la puissance d’un lointain, d’un ailleurs, ici, là ou là-bas...
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Libfly
Sophie Caratini rédige ici un essai appuyé sur son expérience personnelle sur le terrain de sa recherche, le peuple nomade Rgaybi en Mauritanie.
Dans son entretien avec M. Godelier, elle explique ce livre par son désir de montrer que la part de subjectivité intervenant dans la recherche ethnologique est une source d'enrichissement et non un frein. Ne pas se limiter aux contraintes posées par les différentes « écoles » de la discipline;
l'analyse réflexive et le récit autobiographique se mêlent pour aboutir à une information précieuse pour les étudiants en anthropologie innocents des pièges du « terrain » mais qui résonnera dans la mémoire de tous chercheurs en sciences humaines habitués aux missions sur place. L'évocation du savant blanc, seul en milieu hostile, va être ici un peu réactualisée et surtout analysée. (...)
Livre utile à tous les débutants en sciences humaines de terrain, pas seulement aux ethnologues.
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Dans son entretien avec M. Godelier, elle explique ce livre par son désir de montrer que la part de subjectivité intervenant dans la recherche ethnologique est une source d'enrichissement et non un frein. Ne pas se limiter aux contraintes posées par les différentes « écoles » de la discipline;
l'analyse réflexive et le récit autobiographique se mêlent pour aboutir à une information précieuse pour les étudiants en anthropologie innocents des pièges du « terrain » mais qui résonnera dans la mémoire de tous chercheurs en sciences humaines habitués aux missions sur place. L'évocation du savant blanc, seul en milieu hostile, va être ici un peu réactualisée et surtout analysée. (...)
Livre utile à tous les débutants en sciences humaines de terrain, pas seulement aux ethnologues.
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Goodreads
A lire absolument non seulement les spécialistes mais le grand public. Ce qu'elle révèle dans son livre peut s'appliquer à toutes les situations où l'on côtoie l'Autre et devrait remettre en question la plupart des écrits sur l'Autre aussi.
Je remercie l'auteur pour avoir eu le courage de partager ce qui peut et va déranger. Il faudrait plus de gens courageux comme Sophie.
Je remercie l'auteur pour avoir eu le courage de partager ce qui peut et va déranger. Il faudrait plus de gens courageux comme Sophie.
Goodreads
Plus que super. Dense, aigu, lucide et inspirant!!! Love it!
Tout apprenti en anthropologie doit le lire pour savoir plus sur les "non-dits" de cette science fascinante.
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Tout apprenti en anthropologie doit le lire pour savoir plus sur les "non-dits" de cette science fascinante.
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