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Récit autobiographique
14,90 €, 128 p
ISBN : 978-2-36280-028-3
Format : 140/205 mm
Parution : 4 janvier 2013
Disponible en Ebook (9,99 €)
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Parution : 4 janvier 2013
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Fréquence protestante Claude Boulanger, 23 octobre 2017
Émission " Midi Magazine " par Claude Boulanger, 23 octobre 2017, 12h05-13h
Claude Boulanger reçoit Nathalie Heinich pour Maisons perdues.
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Claude Boulanger reçoit Nathalie Heinich pour Maisons perdues.
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La Croix Élodie Maurot, 10 août 2017
La sociologue, qui fut proche de Bourdieu, partage sa vie entre Paris et le Chambon-sur-Lignon, en Haute-Loire.
D’où lui vient cet attachement aux maisons ? Elle ne le sait, mais dans Maisons perdues (Thierry Marchaisse), elle s’est intéressée à celles qui ont jalonné sa vie, « exactement comme des gens qu’on a aimés, qui ont énormément compté pour nous, et puis qui sortent de nos existences », écrivait-elle. « Ces maisons – comme ces gens – nous ont façonnés, elles sont à l’intérieur de nous, psychiquement, de même que nous avons été à l’intérieur d’elles, physiquement (…) Ces maisons continuent à nous habiter, même lorsque nous avons cessé, nous, de les habiter. »
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D’où lui vient cet attachement aux maisons ? Elle ne le sait, mais dans Maisons perdues (Thierry Marchaisse), elle s’est intéressée à celles qui ont jalonné sa vie, « exactement comme des gens qu’on a aimés, qui ont énormément compté pour nous, et puis qui sortent de nos existences », écrivait-elle. « Ces maisons – comme ces gens – nous ont façonnés, elles sont à l’intérieur de nous, psychiquement, de même que nous avons été à l’intérieur d’elles, physiquement (…) Ces maisons continuent à nous habiter, même lorsque nous avons cessé, nous, de les habiter. »
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Radio JM Claudia Amodeo, 9 novembre 2014
Émission " Au fil du temps " par Claudia Almodeo, 9 novembre 2014.
Chronique du livre Maisons perdues.
Chronique du livre Maisons perdues.
Radio JM Claudia Almodeo, 29 septembre 2014
Émission " Dans les coulisses " par Claudia Almodeo, 29 septembre 2014.
Claudia Almodeo et Jean-Noël Bret s'entretiennent avec Nathalie Heinich à Marseille autour de Maisons perdues.
Claudia Almodeo et Jean-Noël Bret s'entretiennent avec Nathalie Heinich à Marseille autour de Maisons perdues.
Esprit Olivier Mongin, décembre 2013
Sociologue originale, indépendante et respectée, Nathalie Heinich voyage à travers ses maisons, depuis la Marseille de l’enfance jusqu’à la région parisienne des études et de la découverte de la vie intellectuelle (admirable portrait de la traductrice de Julio Cortázar) en passant par Nice. Mais cette histoire de maisons la conduit à chérir par-dessus tout le Massif central et à se retrouver dans une zone frontière située « au milieu de la France », entre Saint-Agrève et Chambon-sur-Lignon, une frontière de la géographie hexagonale mais surtout une frontière familiale qui relie sa double ascendance juive et protestante.
Cet ouvrage où la sociologue oublie son savoir dessine un parcours émouvant à travers les espaces et des maisons qui sont avant tout des jardins que l’on peut arpenter. Une écriture, précise-t-elle, mais une écriture nomade, car jamais il n’y a la bonne maison, jamais elle ne s’arrête définitivement dans l’une de ces maisons qui s’entrelacent comme autant de villes refuges chères à la tradition biblique.
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Cet ouvrage où la sociologue oublie son savoir dessine un parcours émouvant à travers les espaces et des maisons qui sont avant tout des jardins que l’on peut arpenter. Une écriture, précise-t-elle, mais une écriture nomade, car jamais il n’y a la bonne maison, jamais elle ne s’arrête définitivement dans l’une de ces maisons qui s’entrelacent comme autant de villes refuges chères à la tradition biblique.
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Vingtième Siècle J. Chapoutot, octobre-décembre 2013, N° 120
Nul besoin d’être (multi-)propriétaire et de posséder maison de famille ou résidence secondaire pour apprécier cet ouvrage de la sociologue Nathalie Heinich, qui se livre ici à un passionnant exercice d’histoire personnelle et familiale en prenant pour objet les lieux qu’elle a habités : moins ses résidences permanentes et quotidiennes, plutôt présentes ici en contrepoint, que les maisons qu’elle a fréquentées les week-ends, en vacances, chez des amis ou en pension de famille.
L’odeur des bois et des murs humides, les climats et les lieux, la topographie d’un jardin, tout contribue à l’identité si particulière des maisons que nous avons aimées et perdues. Notre vie se résume parfois à la quête du lieu parfait qui présenterait les traits de ces maisons de nos rêves.
A l’issue d’un essai qui vaut son pesant de poésie et de nostalgie, Nathalie Heinich suggère doucement que ces lieux aimés ont bel et bien disparu, que le havre ultime n’existe pas, mais que ces pas posés sur des escaliers qui craquent et des graviers qui crissent en valaient la peine, pour mieux se connaître et pour revisiter cette France du dernier demi-siècle à travers laquelle l’auteure, de proche en proche, a posé son balluchon.
Exercice de deuil et hymne à la vie, dont la conclusion, pétrie de sagesse antique et de voltairianisme malicieux, réconcilie le lecteur avec sa propre histoire.
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L’odeur des bois et des murs humides, les climats et les lieux, la topographie d’un jardin, tout contribue à l’identité si particulière des maisons que nous avons aimées et perdues. Notre vie se résume parfois à la quête du lieu parfait qui présenterait les traits de ces maisons de nos rêves.
A l’issue d’un essai qui vaut son pesant de poésie et de nostalgie, Nathalie Heinich suggère doucement que ces lieux aimés ont bel et bien disparu, que le havre ultime n’existe pas, mais que ces pas posés sur des escaliers qui craquent et des graviers qui crissent en valaient la peine, pour mieux se connaître et pour revisiter cette France du dernier demi-siècle à travers laquelle l’auteure, de proche en proche, a posé son balluchon.
Exercice de deuil et hymne à la vie, dont la conclusion, pétrie de sagesse antique et de voltairianisme malicieux, réconcilie le lecteur avec sa propre histoire.
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France Bleu Azur Daria Bonnin, 20 septrembre 2013
Émission " 1 minute 1 livre " par Daria Bonnin, 20 septembre 2013
Daria Bonnin reçoit Nathalie Heinich pour Maisons perdues.
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Daria Bonnin reçoit Nathalie Heinich pour Maisons perdues.
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France Bleu Vaucluse Béatrice Blanchet, 3 septembre 2013
Émission " Tourne les pages " par Béatrice Blanchet, 29 août 2013, 11h45
Béatrice Blanchet reçoit Nathalie Heinich pour Maisons perdues.
Béatrice Blanchet reçoit Nathalie Heinich pour Maisons perdues.
Le Progrès Fabienne Mercier, 4 août 2013
Cette singulière « autobiographie par les toits, des années 1950 à nos jours, qui rend justice à la grâce des maisons et à la douleur de leur perte », résonne par son universalité. Car Nathalie Heinich ne restitue pas seulement son propre parcours, dans un décor fourmillant de détails caractéristiques d’une époque. Elle dessine avec finesse le passage des générations, l’histoire personnelle s’entrelaçant avec la grande Histoire. Et elle touche le lecteur au cœur.
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Le Nouvel Observateur Nathalie Nadaud-Albertini, 16 juillet 2013
Dans Maisons Perdues, le récit commence avec la couverture. Une petite fille marche vers celle qu’elle sera, façonnée par les lieux qu’elle habitera et les personnes qu’elle y rencontrera. Elle s’appelle Nathalie. Plus tard, à ce prénom, s’ajouteront un nom ainsi qu’une profession. Elle sera Nathalie Heinich, la sociologue. Mais nous n’en sommes pas là.
Pour l’instant, elle nous invite à la suivre sur le chemin qui, de maison en maison, la mènera vers elle-même. Un chemin qu’elle ne connaît pas encore et que l’on va découvrir en même temps qu’elle.
Vous l’avez compris, bien qu’écrit par une sociologue, Maisons Perdues ne traite pas de sociologie. C’est avant tout un texte littéraire et autobiographique. J’ai adoré !
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Pour l’instant, elle nous invite à la suivre sur le chemin qui, de maison en maison, la mènera vers elle-même. Un chemin qu’elle ne connaît pas encore et que l’on va découvrir en même temps qu’elle.
Vous l’avez compris, bien qu’écrit par une sociologue, Maisons Perdues ne traite pas de sociologie. C’est avant tout un texte littéraire et autobiographique. J’ai adoré !
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La Faute à Rousseau Sylvie Jouanny, juin 2013, N°63
Maisons perdues traduit aussi un progressif apprentissage de
la vie et surtout de soi.
De chapitre en chapitre s’élabore ainsi la genèse d’une personnalité partagée, à l’image du village du Massif central où Nathalie Heinich va souvent l’été, dans lequel se trouve le panneau « ligne de partage des eaux ».
Ainsi cette autobiographie n’est-elle pas seulement une « autobiographie par les toits », mais un récit de vie qui montre, au-delà même des maisons perdues, comment la perte élaborée par l’écriture, peut permettre de se construire une maison sûre où être soi.
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De chapitre en chapitre s’élabore ainsi la genèse d’une personnalité partagée, à l’image du village du Massif central où Nathalie Heinich va souvent l’été, dans lequel se trouve le panneau « ligne de partage des eaux ».
Ainsi cette autobiographie n’est-elle pas seulement une « autobiographie par les toits », mais un récit de vie qui montre, au-delà même des maisons perdues, comment la perte élaborée par l’écriture, peut permettre de se construire une maison sûre où être soi.
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Les moments littéraires Anne Coudreuse, juin 2013, N°30
C'est une manière pudique et originale que choisit l’auteur, sociologue aux travaux reconnus, pour évoquer sa vie, des bonheurs de l’enfance aux difficultés de l’âge adulte, dans un cheminement qui inclut la famille et les amis, mais qui fait aussi la part belle à la solitude, quelquefois revendiquée. Assise « au bord de la falaise en à-pic au-dessus de l'océan, face au grand large » sur la « côte de granit rose », Nathalie Heinich se souvient avoir été seule et avoir été heureuse : « Bien que seule — ou parce que seule ? L’avenir allait à l’infini, comme l’horizon. J’étais sans âge. »
Dédié « à la mémoire des Disparus », le récit est aussi traversé par l’Histoire, en particulier de la Shoah, jamais nommée : « est-ce le signe que les maisons ne peuvent être, pour moi, que des lieux de passage, des refuges empruntés, mais pas des possessions ? Après tout, chez les Juifs, on investit peu dans l’immobilier : il faut pouvoir s'en aller, très vite, à tout moment. Aux maisons, on préfère les bijoux. »
Ce ton doux-amer, non dépourvu d’humour, peut aussi laisser la place à des épiphanies fulgurantes, récits de bonheurs perdus mais vécus avec une telle intensité que la mémoire peut en retrouver la voie.
Refermant cette maison de papier, on aurait envie de chanter avec Miossec, « Seul ce que j’ai perdu, m’appartient à jamais », et de faire, d’abord pour soi-même, l’inventaire des maisons habitées, traversées, perdues ou conquises, comme Perec avait fait celui des lieux où il avait dormi, le propre d’un grand livre de littérature étant sans doute, entre autres critères, qu’il pousse son lecteur vers l’écriture, qu’il opère comme une incitation à écrire, restant le plus souvent à l’état d’élan sans suite, mais quel trait d’électricité alors dans tout le corps ! Car il s’agit aussi bien sûr d’une histoire de désir, et les maisons accomplissent des « miracles ».
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Dédié « à la mémoire des Disparus », le récit est aussi traversé par l’Histoire, en particulier de la Shoah, jamais nommée : « est-ce le signe que les maisons ne peuvent être, pour moi, que des lieux de passage, des refuges empruntés, mais pas des possessions ? Après tout, chez les Juifs, on investit peu dans l’immobilier : il faut pouvoir s'en aller, très vite, à tout moment. Aux maisons, on préfère les bijoux. »
Ce ton doux-amer, non dépourvu d’humour, peut aussi laisser la place à des épiphanies fulgurantes, récits de bonheurs perdus mais vécus avec une telle intensité que la mémoire peut en retrouver la voie.
Refermant cette maison de papier, on aurait envie de chanter avec Miossec, « Seul ce que j’ai perdu, m’appartient à jamais », et de faire, d’abord pour soi-même, l’inventaire des maisons habitées, traversées, perdues ou conquises, comme Perec avait fait celui des lieux où il avait dormi, le propre d’un grand livre de littérature étant sans doute, entre autres critères, qu’il pousse son lecteur vers l’écriture, qu’il opère comme une incitation à écrire, restant le plus souvent à l’état d’élan sans suite, mais quel trait d’électricité alors dans tout le corps ! Car il s’agit aussi bien sûr d’une histoire de désir, et les maisons accomplissent des « miracles ».
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Radio du MIT (Boston, MA, USA) Marie Minassian, 13 mars 2013
Émission " French Toast - Millefeuilles " par Marie Minassian, 13 mars 2013, 12h
Marie Minassian reçoit Nathalie Heinich pour Maisons perdues.
Marie Minassian reçoit Nathalie Heinich pour Maisons perdues.
Acta Fabula Ioana Vultur, 11 mars 2013
Par Ioana Vultur, "À la recherche des maisons perdues", Acta Fabula, Let's Proust again ! Vol. 14, n° 2
Ces maisons concentrent, autour d’elles, comme dans un halo, une époque de la vie, un moment de bonheur perdu et qu’on ne peut retrouver qu’à travers l’écriture. Elles sont un peu comme les chambres d’été et d’hiver dans À la recherche du temps perdu.
Tout comme les chambres proustiennes, chaque maison a ici une odeur, une atmosphère qui lui est propre et qui lui confère son cachet particulier. Chacune est décrite de façon minutieuse avec toutes ses pièces et son jardin. À chaque lieu est associé un moment : celui des jeux d’enfance, celui de la bonne chère, celui de la lecture, celui de l’écriture.
Maisons perdues est aussi un essai, une méditation sur le désir d’avoir une maison, c’est‑à‑dire un lieu de stabilité, un lieu à soi, où vivre avec l’homme aimé et sur l’impossibilité d’en trouver ou d’en garder une.
Cette recherche permanente d’une maison est, dans le cas de N. Heinich, aussi une figure de son identité juive, d’un destin qui la lie à celui de sa famille et qui est celui de toujours devoir se tenir prêt pour s’enfuir, de ne jamais pouvoir trouver d’abri sûr, d’endroit stable où pouvoir s’établir, où vivre sans toujours avoir peur, comme la grand‑mère Stacia qui, lors de ses crises d’angoisse, descend en chemise de nuit dans la rue un sac de bijoux sous le bras, de peur d’être déportée.
Le livre se clôt sur un double écho proustien, non seulement à cause du nom de la maison La Retrouvée, évidente allusion à l’épiphanie finale de l’œuvre de Proust, mais aussi parce que, en ce lieu, le côté de sa mère et le côté de son père se rencontrent, tout comme à la fin de la Recherche, le côté de chez Swann rencontre le côté de Guermantes.
La narratrice a enfin trouvé une maison au sens propre du terme, c’est‑à‑dire la stabilité, la sécurité, mais de plus, elle a trouvé « une chambre à soi », car à travers l’écriture, elle s’est trouvée elle‑même.
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Ces maisons concentrent, autour d’elles, comme dans un halo, une époque de la vie, un moment de bonheur perdu et qu’on ne peut retrouver qu’à travers l’écriture. Elles sont un peu comme les chambres d’été et d’hiver dans À la recherche du temps perdu.
Tout comme les chambres proustiennes, chaque maison a ici une odeur, une atmosphère qui lui est propre et qui lui confère son cachet particulier. Chacune est décrite de façon minutieuse avec toutes ses pièces et son jardin. À chaque lieu est associé un moment : celui des jeux d’enfance, celui de la bonne chère, celui de la lecture, celui de l’écriture.
Maisons perdues est aussi un essai, une méditation sur le désir d’avoir une maison, c’est‑à‑dire un lieu de stabilité, un lieu à soi, où vivre avec l’homme aimé et sur l’impossibilité d’en trouver ou d’en garder une.
Cette recherche permanente d’une maison est, dans le cas de N. Heinich, aussi une figure de son identité juive, d’un destin qui la lie à celui de sa famille et qui est celui de toujours devoir se tenir prêt pour s’enfuir, de ne jamais pouvoir trouver d’abri sûr, d’endroit stable où pouvoir s’établir, où vivre sans toujours avoir peur, comme la grand‑mère Stacia qui, lors de ses crises d’angoisse, descend en chemise de nuit dans la rue un sac de bijoux sous le bras, de peur d’être déportée.
Le livre se clôt sur un double écho proustien, non seulement à cause du nom de la maison La Retrouvée, évidente allusion à l’épiphanie finale de l’œuvre de Proust, mais aussi parce que, en ce lieu, le côté de sa mère et le côté de son père se rencontrent, tout comme à la fin de la Recherche, le côté de chez Swann rencontre le côté de Guermantes.
La narratrice a enfin trouvé une maison au sens propre du terme, c’est‑à‑dire la stabilité, la sécurité, mais de plus, elle a trouvé « une chambre à soi », car à travers l’écriture, elle s’est trouvée elle‑même.
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France Culture Alain Veinstein, 28 février 2013
Émission " Du jour au Lendemain " par Alain Veinstein, 28 février 2013, 0h-0h35
Alain Veinstein reçoit Nathalie Heinich pour Maisons perdues.
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Alain Veinstein reçoit Nathalie Heinich pour Maisons perdues.
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Notes Bibliographiques
Maison cocon, maison refuge, maison familiale, projet et rêve de maison, tous ces thèmes abordés tour à tour par Nathalie Heinich nous promènent de Marseille au Massif Central, à Monteillet, le plus beau souvenir, le lieu magique de l'épanouissement et du bonheur, coeur du livre. (...)
Avec grâce, s'écartant des brillantes recherches sur le statut de l'art dont elle est une éminente spécialiste, l'auteur aborde l'autobiographie, un genre nouveau pour elle après Mères-filles. (...)
Sur une ligne mélodique nostalgique et tendre, le livre, qui porte l'empreinte des rafles qui frappèrent sa famille durant la guerre, suit le parcours d'une personnalité riche et attachante.
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Avec grâce, s'écartant des brillantes recherches sur le statut de l'art dont elle est une éminente spécialiste, l'auteur aborde l'autobiographie, un genre nouveau pour elle après Mères-filles. (...)
Sur une ligne mélodique nostalgique et tendre, le livre, qui porte l'empreinte des rafles qui frappèrent sa famille durant la guerre, suit le parcours d'une personnalité riche et attachante.
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