

Récit autobiographique
14,90 €, 128 p
ISBN : 978-2-36280-028-3
Format : 140/205 mm
Parution : 4 janvier 2013
Disponible en Ebook (9,99 €)
ISBN : 978-2-36280-028-3
Format : 140/205 mm
Parution : 4 janvier 2013
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Librairie Decitre
Avec une écriture fluide, l’auteur nous entraîne dans ses souvenirs et nous sommes avec elle dans les différentes pièces de ses maisons, que ce soit dans les cuisines ou les chambres. De belles pages descriptives donnent envie de partir en balade vers ces lieux, que ce soit la côte méditerranéenne ou bretonne.
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Babelio
Les maisons que nous avons connues, où nous avons vêcu depuis notre enfance sont dans notre mémoire, et nous évoquent plus qu'un lieu : une époque, les personnes qui y vivaient avec nous, une atmosphère, des senteurs, des sensations... elles sont en nous. Je partage les sentiments de N. Heinich, et son livre m'a beaucoup touchée.
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La Cause Littéraire
Promenade prenante et réussie, que celle de ce livre : chacun d’entre nous a un Montmachoux… « Une autobiographie par les toits » dit l’auteur. Joli.
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Hellocoton
J'ai refermé ce très joli livre avec le vague à l'âme.... en repensant à mes maisons perdues à moi.
Voici une auto-fiction dont le fil conducteur est la maison, le lieu, le cocon.
Nathalie Heinich écrit d'une façon qui me touche beaucoup.
C'est un sujet qui revient souvent dans mes lectures comme si un cordon ombilical se créait avec le lieu dans lequel je vis. Pour moi, la maison doit être un lieu rassurant, le refuge par excellence. Partir vivre ailleurs, c'est prendre le risque de ne pas arriver à recréer cette sécurité.
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Voici une auto-fiction dont le fil conducteur est la maison, le lieu, le cocon.
Nathalie Heinich écrit d'une façon qui me touche beaucoup.
C'est un sujet qui revient souvent dans mes lectures comme si un cordon ombilical se créait avec le lieu dans lequel je vis. Pour moi, la maison doit être un lieu rassurant, le refuge par excellence. Partir vivre ailleurs, c'est prendre le risque de ne pas arriver à recréer cette sécurité.
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Elisabeth Godfrid
La synthèse du divers, certes, tend à profiler une autobiographie mais l’écriture, en mettant continuellement en exergue les sens d’un corps, en le déliant de son unité, celle d’un « sujet » monteur, rassembleur – « le sable entre les orteils », « odeurs de plâtre humide et de fumée, l’hiver, de fruits trop mûrs et de poubelles trop pleines », « le cliquètement des rondelles sur le grand fourneau à bois » – laisse au lecteur des fragments semblant non rapportés à l’autre, dans et par lesquels justement comme fragments non attribués à quelqu’un, il peut se reconnaître.
Paradoxe d’une auto-bio-graphie où l’extrême focalisation sensorielle sur l’« auto » est cela même qui permet comme un partage. Faisant dire à beaucoup de lecteurs, « je m’y retrouve ». Qui n’a pas senti du « sable entre les orteils » ? Tout vient, revient, la remontée de plage, de l’infra-mince des mots, chacun sa constellation.
Tout au long du livre, le travail d’une simplicité capable de recueillir un monde, sans que jamais ce travail ne se montre, ostensible, plutôt au contraire se faisant oublier, alors la fluidité,...
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Paradoxe d’une auto-bio-graphie où l’extrême focalisation sensorielle sur l’« auto » est cela même qui permet comme un partage. Faisant dire à beaucoup de lecteurs, « je m’y retrouve ». Qui n’a pas senti du « sable entre les orteils » ? Tout vient, revient, la remontée de plage, de l’infra-mince des mots, chacun sa constellation.
Tout au long du livre, le travail d’une simplicité capable de recueillir un monde, sans que jamais ce travail ne se montre, ostensible, plutôt au contraire se faisant oublier, alors la fluidité,...
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Sédiments
Le livre de Nathalie Heinich est touchant, sans jamais tomber dans la mièvrerie ni la complaisance. A tout moment il sonne juste, avec la mélancolie légère des choses pour toujours disparues et d’autant plus précieuses à notre mémoire.
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MyBoox
J'ai beaucoup aimé ces textes qui partent de la description de maisons et nous entraîne sur les pas de cette enfant, jeune fille, jeune femme.
Nous découvrons alors la vie à Marseille à la fin des années 50 et la vie de nos jours. Ce livre est également le portrait de personnages très touchants, que ce soit des membres de la famille de l'auteur ou de personnes qu'elle a croisé pendant sa vie.
Ce livre d'apparence personnelle résonne dans les souvenirs de chacun. Nous avons tous des souvenirs dans des maisons, que ce soient des maisons familiales ou des maisons de vacances ou de passage. Avec une écriture fluide, l'auteur nous entraîne dans ses souvenirs et nous sommes avec elle dans les différentes pièces de ces maisons, que ce soit dans les cuisines ou les chambres.
De belles pages descriptives donnent envie de partir en balade vers ces lieux, que ce soit la côte méditerranéenne ou bretonne.
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Nous découvrons alors la vie à Marseille à la fin des années 50 et la vie de nos jours. Ce livre est également le portrait de personnages très touchants, que ce soit des membres de la famille de l'auteur ou de personnes qu'elle a croisé pendant sa vie.
Ce livre d'apparence personnelle résonne dans les souvenirs de chacun. Nous avons tous des souvenirs dans des maisons, que ce soient des maisons familiales ou des maisons de vacances ou de passage. Avec une écriture fluide, l'auteur nous entraîne dans ses souvenirs et nous sommes avec elle dans les différentes pièces de ces maisons, que ce soit dans les cuisines ou les chambres.
De belles pages descriptives donnent envie de partir en balade vers ces lieux, que ce soit la côte méditerranéenne ou bretonne.
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Babelio
Pousser de nouveau la porte des maisons de sa jeunesse, celles auxquelles elle n'a plus accès, celles qui n'existent plus, un peu comme l'on évoque « des gens qu'on a aimés », tel est l'objet de Maisons perdues de Nathalie Heinich. Retrouver par l'écriture ces lieux de l'enfance qui l'ont façonnée. A travers les maisons, c'est elle-même finalement qu'évoque la sociologue, dans ce qu'elle qualifie d' « autobiographie par les toits ».
L'on y découvre une enfance marseillaise auprès de la bâtisse des grands-parents. La petite fille y fait ses premiers pas, cherchant l'équilibre, comme en témoigne de vieilles photos. C'est l'une d'entre elle qui est choisie pour la couverture du livre.
L'enfant qui trottine ignore encore le mariage forcé de ses grands-parents, la grand-mère aînée de trois filles que, par l'entremise du pasteur, on a mariée dans l'urgence, alors même qu'elle en aimait un autre, à un jeune homme bien inconsistant à côté de l'élu de son coeur.
Elle ne perçoit pas pour le moment que ses parents ont allié une famille protestante austère, un brin pétainiste, à des Juifs soudés par la disparition de beaucoup trop d'entre eux, par les fuites incessantes devant l'occupant. Pour l'instant l'enfant profite des confitures et des gâteaux de son aïeule.
D'autres maisons façonnent la jeunesse de Nathalie Heinich dans le sud-est, maisons des oncles et tantes, qui reçoivent régulièrement pour le plus grand bonheur des cousins qui ont ainsi de beaux terrains de jeu [...]
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L'on y découvre une enfance marseillaise auprès de la bâtisse des grands-parents. La petite fille y fait ses premiers pas, cherchant l'équilibre, comme en témoigne de vieilles photos. C'est l'une d'entre elle qui est choisie pour la couverture du livre.
L'enfant qui trottine ignore encore le mariage forcé de ses grands-parents, la grand-mère aînée de trois filles que, par l'entremise du pasteur, on a mariée dans l'urgence, alors même qu'elle en aimait un autre, à un jeune homme bien inconsistant à côté de l'élu de son coeur.
Elle ne perçoit pas pour le moment que ses parents ont allié une famille protestante austère, un brin pétainiste, à des Juifs soudés par la disparition de beaucoup trop d'entre eux, par les fuites incessantes devant l'occupant. Pour l'instant l'enfant profite des confitures et des gâteaux de son aïeule.
D'autres maisons façonnent la jeunesse de Nathalie Heinich dans le sud-est, maisons des oncles et tantes, qui reçoivent régulièrement pour le plus grand bonheur des cousins qui ont ainsi de beaux terrains de jeu [...]
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Librairie La Fabrique à rêves
Le récit de Nathalie Heinich est comme un album photos noir et blanc ou un rêve pour se souvenir.
Se souvenir des êtres chers, d'une époque, de soi comme un effet miroir dont le réceptacle est une maison "je devais avoir cinq ou six ans, et je lisais un livre d'images où il était question d'un groupe d'enfants qui jouaient et vivaient dans un livre - chaque double page était une pièce de leur maison. Vivre dans un livre, tous ensemble : une image du bonheur total qui m'a emplie de la certitude, soudain que c'était à cela que devait ressembler la vraie vie".
Chacun de nous a son "Monteillet", lire ces lignes fait ressurgir dans notre mémoire avec bonheur et douce mélancolie ce que l'on a connu et....perdu. Perdu pour non possession, par la vente à un tiers, dégradation, démolition ou impossibilité de reconnaître LA maison dans le cadre d'une restructuration urbaine : "mais ne pas même savoir si ce qu'on a connu existe encore, et où, alors même qu'on y est - comment l'accepter ?".
La grande réussite de cet essai qui était une gageure de Nathalie Heinich est, en le lisant, de partager le deuil que l'on fait un jour d'une maison qui nous a vu grandir et de surmonter la douleur de la perte en se consolant de ces mots qui touchent profondément.
Lire le commentaire complet sur La fabrique à rêves
Se souvenir des êtres chers, d'une époque, de soi comme un effet miroir dont le réceptacle est une maison "je devais avoir cinq ou six ans, et je lisais un livre d'images où il était question d'un groupe d'enfants qui jouaient et vivaient dans un livre - chaque double page était une pièce de leur maison. Vivre dans un livre, tous ensemble : une image du bonheur total qui m'a emplie de la certitude, soudain que c'était à cela que devait ressembler la vraie vie".
Chacun de nous a son "Monteillet", lire ces lignes fait ressurgir dans notre mémoire avec bonheur et douce mélancolie ce que l'on a connu et....perdu. Perdu pour non possession, par la vente à un tiers, dégradation, démolition ou impossibilité de reconnaître LA maison dans le cadre d'une restructuration urbaine : "mais ne pas même savoir si ce qu'on a connu existe encore, et où, alors même qu'on y est - comment l'accepter ?".
La grande réussite de cet essai qui était une gageure de Nathalie Heinich est, en le lisant, de partager le deuil que l'on fait un jour d'une maison qui nous a vu grandir et de surmonter la douleur de la perte en se consolant de ces mots qui touchent profondément.
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Librairie Sauramps
De ces douces pages à l'accent mélancolique, se dégagent tout simplement le récit d'un coeur qui bat, celui qui vous met les sens en éveil.
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Libfly
Nathalie Heinich nous promène dans sa vie et sait éveiller la mémoire du lecteur qui, pour peu qu'il soit de la même génération, trouvera un écho personnel. Ce n'est pas une œuvre nostalgique mais plutôt le portrait d'une époque qu'elle décrit avec finesse.
Merci à Libfly de m'avoir permis de découvrir ce récit vers lequel je n'aurais certainement pas été attirée chez mon libraire... mais que j'ai eu plaisir à lire !
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Merci à Libfly de m'avoir permis de découvrir ce récit vers lequel je n'aurais certainement pas été attirée chez mon libraire... mais que j'ai eu plaisir à lire !
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Liratouva
Le livre de Nathalie Heinich m'inspire, me parle, me donne des idées... Je l'ai aimé, m'y suis retrouvée, ai revécu en sa compagnie des moments forts de ma génération, des plaisirs, des espoirs, des influences, des modes mais aussi des souffrances, des révoltes, des déceptions que j'avais oubliées.
Quand elle parle de ses maisons et des pans de sa vie qui y demeurent liés, elle me rappelle aussi des moments de la mienne, noirs ou roses mais toujours intensément vécus. Elle est fondamentalement du sud et moi profondément de l'ouest mais qu'importe... Les émotions, les sentiments, les joies de l'enfance, les craintes et les ambitions de l'âge adulte, les regrets des années qui défilent, tout est semblable en définitive.
Un beau moment de lecture.
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Quand elle parle de ses maisons et des pans de sa vie qui y demeurent liés, elle me rappelle aussi des moments de la mienne, noirs ou roses mais toujours intensément vécus. Elle est fondamentalement du sud et moi profondément de l'ouest mais qu'importe... Les émotions, les sentiments, les joies de l'enfance, les craintes et les ambitions de l'âge adulte, les regrets des années qui défilent, tout est semblable en définitive.
Un beau moment de lecture.
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