Les Médias en parlent
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Essai
14,20 €, 288 p.
ISBN : 978-2-36280-006-1
Format : 140/205 mm
Parution : 3 novembre 2011
Disponible en Ebook (8,49 €)
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Michel Winock
Journal politique |
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La Psychanalyse Science, Thérapie - et Cause |
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France Inter Jean Lebrun, 28 septembre 2016
Émission La Marche de l'Histoire, par Jean Lebrun, avec Thomas Brisson
"Le rayonnement de la pensée française décline-t-il ?"
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Recherches Régionales Ralph Schor, juin 2012, N° 201
Aujourd’hui semble se dégager une nouvelle typologie dans le monde des intellectuels : le « professionnel » produit une œuvre écrite secondaire et, grâce à son talent d’exposition, brille surtout dans les médias ; le « spécifique », fuyant les idées générales, se cantonne à son domaine de spécialité ; l’ « anonyme » prolifère, répond à toutes les sollicitations et intervient sans se distinguer de la masse.
In fine, Michel Winock observe le repli et le pessimisme des intellectuels d’aujourd’hui découragés par l’effondrement du marxisme, les effets pervers du progrès et la mondialisation uniformisatrice. Peut-être quelques-uns cherchent-ils, dans le secret de leur cabinet, à discerner la direction vers laquelle nous nous dirigeons dans l’obscurité.
L’ouvrage de Michel Winock est léger par le nombre de ses pages mais lourd par son érudition et l’importance des questions qu’il pose. Il montre le rôle essentiel de l’intellectuel dans la cité, mais, pour illustrer cette réalité, il trouve plus d’exemples dans le passé que dans le monde actuel.
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In fine, Michel Winock observe le repli et le pessimisme des intellectuels d’aujourd’hui découragés par l’effondrement du marxisme, les effets pervers du progrès et la mondialisation uniformisatrice. Peut-être quelques-uns cherchent-ils, dans le secret de leur cabinet, à discerner la direction vers laquelle nous nous dirigeons dans l’obscurité.
L’ouvrage de Michel Winock est léger par le nombre de ses pages mais lourd par son érudition et l’importance des questions qu’il pose. Il montre le rôle essentiel de l’intellectuel dans la cité, mais, pour illustrer cette réalité, il trouve plus d’exemples dans le passé que dans le monde actuel.
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Canal Académie Damien Le Guay, 15 avril 2012
Émission : " Focus ", par Damien Le Guay
De quoi l’avenir intellectuel en France sera-t-il fait ?
Michel Winock historien s’interroge sur le rôle des intellectuels dans un entretien avec Damien Le Guay.
Michel Winock dénonce, dans son livre, ceux qui prennent en grippe leur siècle, et s’en prennent au « triomphe des médiocres ». Il pense, en particulier, à Alain Finkielkraut, Philippe Muray, Michel Houellebecq. Pense-t-il que ces intellectuels-là mettent en avant les effets pervers de la montée de l’individualisme (qui conduit au repliement) ou font-ils partie du « camp des anti-modernes » -mis en lumière par Antoine Compagnon ? Souvenons-nous de ce que disait Renan (de l'Académie française) au jeune Déroulède : « Jeune homme, jeune homme, la France meurt : ne troublez pas son agonie. »
Seconde interrogation : Michel Winock considère que l’intellectuel d’aujourd’hui n’est plus là pour faire semblant de transformer le monde mais doit le penser et « donner sens à notre vie collective ». Qui, selon lui, fait office de penser le monde dans toute sa complexité ?
Ces interrogations permettront tout à la fois de considérer l’histoire des intellectuels en France et d’en voir, aujourd’hui, les apories nombreuses et mutations nécessaires. Et Michel Winock est bien placé pour émettre un jugement et discerner les tâches nouvelles à accomplir.
Pourquoi les intellectuels s’en prennent-ils à leur siècle ? A quoi servent-ils dans le monde actuel ? Michel Winock, grand historien de l’histoire contemporaine de France, professeur émérite à Sciences-po Paris, est un spécialiste des intellectuels en France. A ce sujet, deux livres ont fait sa renommée : Le siècle des intellectuels (1997) et (avec Jacques Julliard) un Dictionnaire des intellectuels français (2002). Et en 2011 : L’effet de génération.
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De quoi l’avenir intellectuel en France sera-t-il fait ?
Michel Winock historien s’interroge sur le rôle des intellectuels dans un entretien avec Damien Le Guay.
Michel Winock dénonce, dans son livre, ceux qui prennent en grippe leur siècle, et s’en prennent au « triomphe des médiocres ». Il pense, en particulier, à Alain Finkielkraut, Philippe Muray, Michel Houellebecq. Pense-t-il que ces intellectuels-là mettent en avant les effets pervers de la montée de l’individualisme (qui conduit au repliement) ou font-ils partie du « camp des anti-modernes » -mis en lumière par Antoine Compagnon ? Souvenons-nous de ce que disait Renan (de l'Académie française) au jeune Déroulède : « Jeune homme, jeune homme, la France meurt : ne troublez pas son agonie. »
Seconde interrogation : Michel Winock considère que l’intellectuel d’aujourd’hui n’est plus là pour faire semblant de transformer le monde mais doit le penser et « donner sens à notre vie collective ». Qui, selon lui, fait office de penser le monde dans toute sa complexité ?
Ces interrogations permettront tout à la fois de considérer l’histoire des intellectuels en France et d’en voir, aujourd’hui, les apories nombreuses et mutations nécessaires. Et Michel Winock est bien placé pour émettre un jugement et discerner les tâches nouvelles à accomplir.
Pourquoi les intellectuels s’en prennent-ils à leur siècle ? A quoi servent-ils dans le monde actuel ? Michel Winock, grand historien de l’histoire contemporaine de France, professeur émérite à Sciences-po Paris, est un spécialiste des intellectuels en France. A ce sujet, deux livres ont fait sa renommée : Le siècle des intellectuels (1997) et (avec Jacques Julliard) un Dictionnaire des intellectuels français (2002). Et en 2011 : L’effet de génération.
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France Culture 13 avril 2012
Émission : " À voix nue ", par Emmanuel Laurentin
Entretiens de 30 minutes, chaque jour, retraçant le parcours de Michel Winock.
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France Culture 9 avril 2012
Émission : " Les Chemins de campagne ", par Eléa François
Où sont passés les intellectuels dans la campagne ?
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Notes Bibliographiques janvier 2012
Michel Winock est spécialiste de l'histoire des intellectuels. L'Effet de génération définit puis analyse les générations d'intellectuels qui se sont succédé en France depuis l'affaire Dreyfus (1897) jusqu'à nos jours. Chacune d'elle a porté une vision incarnée par des penseurs qui s'affrontaient sur de grandes questions de leur époque (...).
Qu'en reste-t-il aujourd'hui ? Pour l'auteur, quelques penseurs de qualité tentent malgré tout de donner du sens à notre époque obscure, qui en a bien besoin. Un ouvrage documenté et clair.
Qu'en reste-t-il aujourd'hui ? Pour l'auteur, quelques penseurs de qualité tentent malgré tout de donner du sens à notre époque obscure, qui en a bien besoin. Un ouvrage documenté et clair.
Parutions.com Marie-Paule Claire, 1 novembre 2011
C’est de génération intellectuelle que nous parle Michel Winock dans ce stimulant essai. (...)
Contre « l’à-quoi-bonisme » qui caractérise nombre d’entre eux, Michel Winock invite les intellectuels en conclusion à tenter de « donner un sens aux temps obscurs où nous vivons ». L’enjeu fort est là pour Michel Winock : que des penseurs se lèvent dans notre société !
Un essai intéressant qui permettra aux lecteurs ignorant l’œuvre de Michel Winock de la découvrir et à ses lecteurs de retrouver ses grands thèmes.
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Contre « l’à-quoi-bonisme » qui caractérise nombre d’entre eux, Michel Winock invite les intellectuels en conclusion à tenter de « donner un sens aux temps obscurs où nous vivons ». L’enjeu fort est là pour Michel Winock : que des penseurs se lèvent dans notre société !
Un essai intéressant qui permettra aux lecteurs ignorant l’œuvre de Michel Winock de la découvrir et à ses lecteurs de retrouver ses grands thèmes.
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France Inter 3 septembre 2011
France Culture 2 juillet 2011
Marianne 29 juin 2011, Philippe Petit
Qu'est-ce qu'une génération ?
Quels sont selon lui les écueils à éviter lorsqu’on aborde cette question des générations ?
Tout d’abord ne pas confondre la notion de génération et celle de classe d’âge. S’en tenir aux «groupes concrets» et ne pas avoir devant les yeux une grille des générations comme cela est le cas chez Albert Thibaudet qui évoque la génération de 1789 comme celle des « vingt ans en 1789 ». L’émergence d’une génération ne correspond pas toujours à l’âge de ses artères. Chateaubriand n’est pas né publiquement en 1789. Ensuite et par conséquence, périodiser avec intelligence. Ce que fait Michel Winock dans « un essai de stratigraphie » qui commence avec l’Affaire Dreyfus et se termine avec la « génération Mitterrand »
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Quels sont selon lui les écueils à éviter lorsqu’on aborde cette question des générations ?
Tout d’abord ne pas confondre la notion de génération et celle de classe d’âge. S’en tenir aux «groupes concrets» et ne pas avoir devant les yeux une grille des générations comme cela est le cas chez Albert Thibaudet qui évoque la génération de 1789 comme celle des « vingt ans en 1789 ». L’émergence d’une génération ne correspond pas toujours à l’âge de ses artères. Chateaubriand n’est pas né publiquement en 1789. Ensuite et par conséquence, périodiser avec intelligence. Ce que fait Michel Winock dans « un essai de stratigraphie » qui commence avec l’Affaire Dreyfus et se termine avec la « génération Mitterrand »
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France Culture 29 juin 2011
Émission : " L’essai du jour " par Philippe Petit
Le monde a changé de base dans la manière de concevoir les générations, penser les âges de la vie, considérer la figure de l’intellectuel. Cela fait beaucoup de questions en même temps. Et si on veut les démêler, il est conseiller de se plonger dans le livre de Michel Winock : L’effet de génération.
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Le monde a changé de base dans la manière de concevoir les générations, penser les âges de la vie, considérer la figure de l’intellectuel. Cela fait beaucoup de questions en même temps. Et si on veut les démêler, il est conseiller de se plonger dans le livre de Michel Winock : L’effet de génération.
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Esprit Marc-Olivier Padis, 7 juin 2011
Si la démarche conduit à reconnaître un certain épuisement de la figure de l’intellectuel à la française, l’auteur souligne toujours que cela ne signifie en rien un moindre intérêt de la production intellectuelle, telle qu’elle s’observe à travers les livres ou le travail des revues…
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Sud Ouest Christophe Lucet, 29 mai 2011
Pour raconter l’histoire des intellectuels, l’historien adopte une grille de lecture éclairante : celle des générations.
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L’Histoire juin 2011 , N° 365
Depuis les années 1980, il est question de dépôt de bilan des intellectuels, comme si la mort de Jean-Paul Sartre, puis celle de Raymond Aron, avait épuisé l’espèce.
Dans un petit livre bien senti, Michel Winock revient sur les huit générations (au sens de Mentré, c’est-à-dire pas simplement des « classes d’âges ») qui, de l’ « Affaire Dreyfus » à « Mai 68 », ont structuré l’histoire politique de la France. Poursuivant jusqu’à nous, l’auteur fait le bilan de trente ans de recherches pionnnières sur la place des intellectuels et le concept fécond mais galvaudé de « génération ».
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Dans un petit livre bien senti, Michel Winock revient sur les huit générations (au sens de Mentré, c’est-à-dire pas simplement des « classes d’âges ») qui, de l’ « Affaire Dreyfus » à « Mai 68 », ont structuré l’histoire politique de la France. Poursuivant jusqu’à nous, l’auteur fait le bilan de trente ans de recherches pionnnières sur la place des intellectuels et le concept fécond mais galvaudé de « génération ».
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Le Figaro Magazine Alain-Gérard Slama, 14 mai 2011
Comme le montre Michel Winock dans un essai magistral, rien n'est plus difficile à cerner qu'un « effet de génération ».
Michel Winock suggère que, s'il est un trait propre à notre temps, ce serait précisément la dilution dans la marée médiatique planétaire des repères constitutifs d'une conscience générationnelle partagée.
Michel Winock suggère que, s'il est un trait propre à notre temps, ce serait précisément la dilution dans la marée médiatique planétaire des repères constitutifs d'une conscience générationnelle partagée.