Les Médias en parlent
Louise Oligny & Clémentine du Pontavice
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Récit
25 €, 207 p.
ISBN : 978-2-36280-269-0
Format : 165/215 mm
Dos carré cousu
Illustrations couleur
Parution : 1 octobre 2021
Disponible en Ebook PDF (17,99 €)
ISBN : 978-2-36280-269-0
Format : 165/215 mm
Dos carré cousu
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Parution : 1 octobre 2021
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Babelio Revue des Lecteurs
Voici un livre qui fera partie de la liste des livres inoubliables.
Il m'a entièrement bouleversée le coeur et l'esprit.
Les témoignages, les photos, les dessins, sont forts, intimes, fiers, résistants, complices, libres, vrais, résilients, engagés, courageux et beaux.
Je comprends totalement le besoin de se retrouver, de retrouver une vie à travers la création.
[...]
Un grand merci à Babelio, à sa Masse critique, et aux Éditions Thierry Marchaisse pour ce livre qui fait vraiment sens pour moi.
Il est douloureux, mais il est aussi enthousiaste et porteur d'espoir.
Il est absolument et simplement magnifique.
Kryan Soler 20 février 2022
Réparer l'intime, c'est un livre qui m'a bouleversée.
Je ne connaissais pas la maison des femmes ni les ateliers proposés. Ça a été une découverte pour moi, et je suis plus qu'heureuse de savoir que ceci existe, beaucoup en ont besoin. Beaucoup trop.
Le livre regroupe énormément de témoignages aussi différents les uns que les autres, on y parle de viol, d'inceste, de reconstruction... on y parle de violence féminine de femme mutilée, d'emprise...
Il est, de loin, le livre le plus dur que je n'ai jamais eu à lire. J'ai eu beaucoup de mal à le finir, tant certains de témoignages m'ont touché. Certains plus que d'autres. Les frissons accompagneront forcément votre lecture c'est inévitable....
Je pense que, en tant que femme, c'est un livre qu'on doit avoir à porter de main. Et je pense aussi, sincèrement, que c'est un livre à offrir, aux hommes, aux femmes, et à tous ceux et celles ayant pu connaître une de ses situations de prés ou de loin.
Ce qui est bien, c'est que certains témoignages nous font sentir moins seule.
Loéva, Ladroguerieecrite, 20 avril 2022
Je ne peux vous faire un résumer de chaque témoignage que j'ai pu lire, mais j'en suis sortie grandi, horrifié et surtout admirative de la force qui habite ses femmes, elles sont extraordinaires.
Dans ce livre accompagnant leur témoignage tu trouveras de magnifiques photos ainsi que certains de leur dessin et des bijoux qu'elles ont créés.
Pour moi cet ouvrage c'est avant tout la cohésion dans un groupe, l'entraide, l'écoute.
Ce livre au moins une fois dans ta vie tu liras !
Si vous l'avez en votre possession ne le laissez pas prendre la poussière sur votre étagère parlez en prêter le échanger à son sujet.
Ne laissons plus sous silence les violences que vivent nos soeurs ne fermons plus les yeux.
Louec 24 février 2022
Il m'a entièrement bouleversée le coeur et l'esprit.
Les témoignages, les photos, les dessins, sont forts, intimes, fiers, résistants, complices, libres, vrais, résilients, engagés, courageux et beaux.
Je comprends totalement le besoin de se retrouver, de retrouver une vie à travers la création.
[...]
Un grand merci à Babelio, à sa Masse critique, et aux Éditions Thierry Marchaisse pour ce livre qui fait vraiment sens pour moi.
Il est douloureux, mais il est aussi enthousiaste et porteur d'espoir.
Il est absolument et simplement magnifique.
Kryan Soler 20 février 2022
Réparer l'intime, c'est un livre qui m'a bouleversée.
Je ne connaissais pas la maison des femmes ni les ateliers proposés. Ça a été une découverte pour moi, et je suis plus qu'heureuse de savoir que ceci existe, beaucoup en ont besoin. Beaucoup trop.
Le livre regroupe énormément de témoignages aussi différents les uns que les autres, on y parle de viol, d'inceste, de reconstruction... on y parle de violence féminine de femme mutilée, d'emprise...
Il est, de loin, le livre le plus dur que je n'ai jamais eu à lire. J'ai eu beaucoup de mal à le finir, tant certains de témoignages m'ont touché. Certains plus que d'autres. Les frissons accompagneront forcément votre lecture c'est inévitable....
Je pense que, en tant que femme, c'est un livre qu'on doit avoir à porter de main. Et je pense aussi, sincèrement, que c'est un livre à offrir, aux hommes, aux femmes, et à tous ceux et celles ayant pu connaître une de ses situations de prés ou de loin.
Ce qui est bien, c'est que certains témoignages nous font sentir moins seule.
Loéva, Ladroguerieecrite, 20 avril 2022
Je ne peux vous faire un résumer de chaque témoignage que j'ai pu lire, mais j'en suis sortie grandi, horrifié et surtout admirative de la force qui habite ses femmes, elles sont extraordinaires.
Dans ce livre accompagnant leur témoignage tu trouveras de magnifiques photos ainsi que certains de leur dessin et des bijoux qu'elles ont créés.
Pour moi cet ouvrage c'est avant tout la cohésion dans un groupe, l'entraide, l'écoute.
Ce livre au moins une fois dans ta vie tu liras !
Si vous l'avez en votre possession ne le laissez pas prendre la poussière sur votre étagère parlez en prêter le échanger à son sujet.
Ne laissons plus sous silence les violences que vivent nos soeurs ne fermons plus les yeux.
Louec 24 février 2022
Fisheye Magazine Ana Corderot, 8 décembre 2021
« Réparer l'intime » : un périple féminin vers la guérison
Avec Réparer l’intime, L’Atelier de la Maison des Femmes, les artistes Louise Oligny et Clémentine du Pontavice signent un recueil de témoignages bouleversant. Ponctué par des photographies puissantes, des textes descriptifs et des éclairages signés par la doctoresse Ghada Hatem, ce livre est une ode à la résilience des femmes violentées.
« Je vous laisse vagabonder au fil des pages, admirer photos et dessins, et découvrir des histoires de vies marquées par la violence mais qui témoignent de l’incroyable vitalité et du courage immense dont ont fait preuve ces femmes, nos guerrières, nos héroïnes ». C’est en ces quelques lignes, tirées de la préface que la doctoresse Ghada Hatem, créatrice de la Maison des femmes de Saint-Denis (93), nous plonge dans Réparer l’intime.
Réalisé par Louise Oligny et Clémentine du Pontavice, respectivement photographe et illustratrice, cet ouvrage retrace, pas à pas, l’évolution de leur atelier artistique aux vertus thérapeutiques. L’objectif de ce dernier ? Réunir des femmes victimes de violence, chaque semaine pendant deux heures, autour de confection de bijoux, de dessins et de photographies − une fois parées de leur créations, les participantes passent devant l’objectif, pour finalement redessiner leur portrait à l’aide d’un papier calque −. Retour sur la genèse de ce projet hautement symbolique. (...)
Au fil des pages, on aperçoit, entre la cruauté de certains récits, des femmes renaître et rayonner, malgré un passé où toute joie et légèreté leur ont été arrachées. Réparer l’intime s’impose comme le témoin d’un périple féminin, d’une marche vers la guérison et la reconstruction. Il nous invite, pour reprendre les mots de Ghada Hatem, à « ouvrir (nos) yeux, (nos) oreilles et (nos) cœurs » sur ces femmes : nos sœurs d’une autre mère, nos filles d’une maison voisine, à qui nous tendrons la main au moindre appel à l’aide.
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Avec Réparer l’intime, L’Atelier de la Maison des Femmes, les artistes Louise Oligny et Clémentine du Pontavice signent un recueil de témoignages bouleversant. Ponctué par des photographies puissantes, des textes descriptifs et des éclairages signés par la doctoresse Ghada Hatem, ce livre est une ode à la résilience des femmes violentées.
« Je vous laisse vagabonder au fil des pages, admirer photos et dessins, et découvrir des histoires de vies marquées par la violence mais qui témoignent de l’incroyable vitalité et du courage immense dont ont fait preuve ces femmes, nos guerrières, nos héroïnes ». C’est en ces quelques lignes, tirées de la préface que la doctoresse Ghada Hatem, créatrice de la Maison des femmes de Saint-Denis (93), nous plonge dans Réparer l’intime.
Réalisé par Louise Oligny et Clémentine du Pontavice, respectivement photographe et illustratrice, cet ouvrage retrace, pas à pas, l’évolution de leur atelier artistique aux vertus thérapeutiques. L’objectif de ce dernier ? Réunir des femmes victimes de violence, chaque semaine pendant deux heures, autour de confection de bijoux, de dessins et de photographies − une fois parées de leur créations, les participantes passent devant l’objectif, pour finalement redessiner leur portrait à l’aide d’un papier calque −. Retour sur la genèse de ce projet hautement symbolique. (...)
Au fil des pages, on aperçoit, entre la cruauté de certains récits, des femmes renaître et rayonner, malgré un passé où toute joie et légèreté leur ont été arrachées. Réparer l’intime s’impose comme le témoin d’un périple féminin, d’une marche vers la guérison et la reconstruction. Il nous invite, pour reprendre les mots de Ghada Hatem, à « ouvrir (nos) yeux, (nos) oreilles et (nos) cœurs » sur ces femmes : nos sœurs d’une autre mère, nos filles d’une maison voisine, à qui nous tendrons la main au moindre appel à l’aide.
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Le Point Gwendoline Dos Santos, 4 novembre 2021
Deux artistes pour réparer les femmes violentées
La Maison des femmes de Saint-Denis prend en charge des victimes de violence [...]. Créée en 2016, unique en France – où 93 000 femmes sont victimes de viol ou de tentatives de viol chaque année, 220 000 de violences conjugales –, cette structure donne de si bons résultats que 22 autres projets sont en route. Soignants, policiers, magistrats, artistes et sportifs coopèrent pour accompagner les patientes.
Louise Oligny, photographe, et Clémentine du Pontavice, autrice et illustratrice, y interviennent depuis 2018. Les ateliers sont devenus « un soin à part entière, affirme la Dr Ghada Hatem, créatrice de ce lieu. Nous le prescrivons comme nous pourrions prescrire des séances de kiné ».
Un beau livre rend compte de cette aventure.
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La Maison des femmes de Saint-Denis prend en charge des victimes de violence [...]. Créée en 2016, unique en France – où 93 000 femmes sont victimes de viol ou de tentatives de viol chaque année, 220 000 de violences conjugales –, cette structure donne de si bons résultats que 22 autres projets sont en route. Soignants, policiers, magistrats, artistes et sportifs coopèrent pour accompagner les patientes.
Louise Oligny, photographe, et Clémentine du Pontavice, autrice et illustratrice, y interviennent depuis 2018. Les ateliers sont devenus « un soin à part entière, affirme la Dr Ghada Hatem, créatrice de ce lieu. Nous le prescrivons comme nous pourrions prescrire des séances de kiné ».
Un beau livre rend compte de cette aventure.
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France Culture L'invité(e) des matins du samedi, 30 octobre 2021
Le Point Éphémère Exposition 19-24 octobre 2021
Exposition "Réparer l'intime" photos du livre
Photos de Louise Oligny et dessins des participantes avec Clémentine du Pontavice
Du mardi 19 octobre au dimanche 24 octobre
Vernissage le mardi 19 octobre à 19h
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Photos de Louise Oligny et dessins des participantes avec Clémentine du Pontavice
Du mardi 19 octobre au dimanche 24 octobre
Vernissage le mardi 19 octobre à 19h
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Librairie L'établi Joël Jégouzo, 13 octobre 2021
Réparer l'intime – L'exposition
Quel que soit le côté d'où l'on parle, simple spectateur d'une exposition ou sa créatrice, il ne s'agit pas de déchiffrer le corps ici. L'exposition ne va pas dans ce sens. Mais de reprendre corps, comme on dit reprendre pied.
Alors, que nous disent ces images ? Qu'est-ce qu'elles nous disent de ce que nous sommes en train de devenir ? Symptôme d'une élévation commune du sujet de l'image, du spectateur qui la voit et de celles qui les ont faites. Ces images font signe à notre humanité. Par la vertu d'un tel montage (et j'y associe le livre qu'elles ont publié autour de leur engagement), le moment d'exploration que nous offrent Louise Oligny et Clémentine du Pontavice est ce par quoi l'humain se sépare de la cruauté de son histoire pour avancer vers lui-même en donnant sens à tout ce qui le constitue.
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Quel que soit le côté d'où l'on parle, simple spectateur d'une exposition ou sa créatrice, il ne s'agit pas de déchiffrer le corps ici. L'exposition ne va pas dans ce sens. Mais de reprendre corps, comme on dit reprendre pied.
Alors, que nous disent ces images ? Qu'est-ce qu'elles nous disent de ce que nous sommes en train de devenir ? Symptôme d'une élévation commune du sujet de l'image, du spectateur qui la voit et de celles qui les ont faites. Ces images font signe à notre humanité. Par la vertu d'un tel montage (et j'y associe le livre qu'elles ont publié autour de leur engagement), le moment d'exploration que nous offrent Louise Oligny et Clémentine du Pontavice est ce par quoi l'humain se sépare de la cruauté de son histoire pour avancer vers lui-même en donnant sens à tout ce qui le constitue.
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La dimension du sens Joël Jégouzo, 11 octobre 2021
Mieux qu'un document : une poïesis. Non pas dans cette acception à laquelle Aristote amarrera la technè, mais cette autre, qui s'occupe d'art et du soin de l'âme, de l'acheminement du non-être vers l'être.
Le livre comprend des images. Un parti pris photographique fort de la part de Louise Oligny. Quelles images faire en effet, quelles images retenir quand on est engagé dans un processus de reconstruction de l'image de soi ? Quelques visages, toujours souriants, heureux, non pas martyrs mais héroïques. Des mains, beaucoup, caressantes, protectrices, enveloppant ces corps meurtris. Des dessins, comme inachevés souvent, en puissance d'être et d'autres, de ces femmes, qui ont par le dessin figuré l'absence : celle de leurs enfants souvent, qu'elles n'ont pu ramener en France, celle de leur village, de leur famille. Des témoignages aussi, toujours volontaires, de celles qui pouvaient franchir cette étape. Des témoignages forts, bouleversants, qui nous mettent face à l'horreur. Des témoignages conduits sous la forme d'entretiens pour en guider l'émotion.
Que dire, qui ne nous projette pas dans l'insuffisance d'une fausse empathie à propos de ces témoignages, qui ne nous enferme pas dans le discours (non le récit) de ce que nous ne pouvons partager ? Que dire, sinon que c'est la résilience qui occupe tout l'espace du livre et non la clôture qu'une attention complaisante pourrait ouvrir à nos propres bouleversements intérieurs.
Le livre est résilient, résolument, encadré de réflexions sur le système judiciaire, policier, balisé par les thématiques des violences conjugales, de l'emprise, de l'excision, de la dissociation, du droit d'asile aujourd'hui en France, etc.
Un livre à ranger dans le rayon des droits de l'Homme, comme l'espère Karyn, la psychologue, dans l'entretien final : parce que cette violence est une atteinte aux droits de l'Homme. « Parce que dès lors qu'on se croit permis de se comporter de façon criminelle chez soi, il n'existe plus aucun frein à l'être dans l'espace public. »
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Le livre comprend des images. Un parti pris photographique fort de la part de Louise Oligny. Quelles images faire en effet, quelles images retenir quand on est engagé dans un processus de reconstruction de l'image de soi ? Quelques visages, toujours souriants, heureux, non pas martyrs mais héroïques. Des mains, beaucoup, caressantes, protectrices, enveloppant ces corps meurtris. Des dessins, comme inachevés souvent, en puissance d'être et d'autres, de ces femmes, qui ont par le dessin figuré l'absence : celle de leurs enfants souvent, qu'elles n'ont pu ramener en France, celle de leur village, de leur famille. Des témoignages aussi, toujours volontaires, de celles qui pouvaient franchir cette étape. Des témoignages forts, bouleversants, qui nous mettent face à l'horreur. Des témoignages conduits sous la forme d'entretiens pour en guider l'émotion.
Que dire, qui ne nous projette pas dans l'insuffisance d'une fausse empathie à propos de ces témoignages, qui ne nous enferme pas dans le discours (non le récit) de ce que nous ne pouvons partager ? Que dire, sinon que c'est la résilience qui occupe tout l'espace du livre et non la clôture qu'une attention complaisante pourrait ouvrir à nos propres bouleversements intérieurs.
Le livre est résilient, résolument, encadré de réflexions sur le système judiciaire, policier, balisé par les thématiques des violences conjugales, de l'emprise, de l'excision, de la dissociation, du droit d'asile aujourd'hui en France, etc.
Un livre à ranger dans le rayon des droits de l'Homme, comme l'espère Karyn, la psychologue, dans l'entretien final : parce que cette violence est une atteinte aux droits de l'Homme. « Parce que dès lors qu'on se croit permis de se comporter de façon criminelle chez soi, il n'existe plus aucun frein à l'être dans l'espace public. »
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France Culture Podcast, 8 juin 2020
Clémentine du Pontavice et Louise Oligny : réparer l'intime par le regard sur soi
Émission : Faire soin
Entretien avec Louise Oligny et Clémentine du Pontavice par Marie Richeux
durée : 16 mn
Par quel moyen aider les femmes victimes de violence à se reconstruire et retrouver l’estime de soi ? C’est la question que se sont posée Clémentine du Pontavice et Louise Oligny. Pour tenter d’y répondre, elles ont créé un atelier où, accompagnées de soignants, elles mettent leur pratique artistique au service de femmes abîmées qui cherchent à se redécouvrir.
Émission : Faire soin
Entretien avec Louise Oligny et Clémentine du Pontavice par Marie Richeux
durée : 16 mn
Par quel moyen aider les femmes victimes de violence à se reconstruire et retrouver l’estime de soi ? C’est la question que se sont posée Clémentine du Pontavice et Louise Oligny. Pour tenter d’y répondre, elles ont créé un atelier où, accompagnées de soignants, elles mettent leur pratique artistique au service de femmes abîmées qui cherchent à se redécouvrir.