• NOS LIVRES ▾
    • CATALOGUE
    • COLLECTIONS
    • A PARAITRE
    • AUTEURS
  • ON EN PARLE ▾
    • MEDIAS
    • BLOGOSPHERE
    • FORUM
  • BOUTIQUE
  • LES EDITIONS ▾
    • QUI SOMMES-NOUS ?
    • LA VISEE
  • CONTACT
Suivez-nous
  • Accueil
  • NOS LIVRES
    • CATALOGUE
    • COLLECTIONS
    • A PARAITRE
    • AUTEURS
  • ON EN PARLE
    • MEDIAS
    • BLOGOSPHERE
    • FORUM
  • BOUTIQUE
  • LES ÉDITIONS
    • QUI SOMMES-NOUS ?
    • LA VISEE
  • CONTACT

Forum


Nathalie Heinich - Maisons perdues

11/12/2012

28 Commentaires

 
Photo
En savoir plus sur cet ouvrage
Le livre -  Médias - Blogs

28 Commentaires
Marielle Macé
11/12/2012 08:09:29 am

Un mot trop bref pour dire avec quel bonheur je lis ces Maisons perdues ; chacune est approchée avec cette intelligence tendre, libre et mélancolique qui baigne tout le livre ; j'imagine l'enfant qui se cache pour pleurer d'émotion à la vue du premier panier de cerises !, les éloignements, les vies futures et les vies rêvées ; je retrouve les pensées complexes des possibles féminins, des possibles familiaux, les pesanteurs, les pertes, ou les bonheurs au réveil ; je ne suis pas tout à fait à la fin du récit (commencé hier!) mais je n'ai pas pu résister à regarder les dernières pages, cherchant à savoir si la maison était retrouvée.

Répondre
Belinda Cannone
15/12/2012 07:39:41 am

J'ai lu en deux traites Maisons Perdues que j'ai trouvé remarquable et qui renouvelle le genre de l'autobiographie d'une façon surprenante. Car c'est bien une autobiographie, mais sous une forme inédite. Il y a certes une linéarité, comme c'est la coutume, assurée par la succession des maisons, mais la chair du temps (!), disons son épaisseur, personnelle et transgénérationnelle, vient s'inscrire chaque fois comme à la verticale. En musique je dirais qu'il y a la mélodie des maisons que vient augmenter et complexifier l'harmonie des éléments biographiques. Et puis, cette plume toujours légère et élégante, et une alacrité délicieuse. C'est vraiment, vraiment bien. Bravo.

Répondre
Jean-Philippe Domecq
14/1/2013 11:16:29 am

Ce livre fait comprendre combien voyager n'est pas bouger, mais trouver, essayer de trouver, découvrir par "hasard objectif" (un des concepts d'André Breton qui tient le coup), être déplacé réellement par l'intériorité croisée de soi et d'un toit. Bref, tout l'opposé de la "vacance" voyageuse, vaste aliénation qui a pris la place laissée justement vacante par la religion comme englobant.
L'auteur nous mène dans une autobiographie topographique qui, via sa singularité, invite tout un chacun à réaliser qu'il en va de même pour soi. D'où la quête que Nathalie Heinich fait faire au lecteur pendant qu'il la suit sur des pistes bien à elle. C'est là que le texte autobiographique est réussi, et, tandis qu'elle nous mène par les deux mains du sensible et du réfléchi, j'entendais la formule de Rousseau au seuil des Confessions: "je mène une entreprise qui n'eut jamais d'exemple", etc.. Il mentait un peu sur ce point (pas ailleurs), sachant ses prédécesseurs Saint-Augustin et Montaigne; mais N.H en revanche, avec ce projet de trajet de vies ("j'ai plusieurs vies", dit-elle) inaugure bel et bien quelque chose.
L'écriture est fluide et sobre, pudique en échos, et par là-même nous atteint d'autant plus, nous prend d'émotion contenue. C'est pourquoi j'ai été touché, littéralement .
Grand merci pour cette lecture.

Répondre
Emilie Dubourber
15/1/2013 01:08:58 pm

Comme toujours je suis séduite par l'écriture de Nathalie Heinich...
Ce livre m'accompagne dans mes rêveries car il est plein d'enchanteresses évocations.

Répondre
Momoko Seto
20/1/2013 11:09:31 am

Le livre de Nathalie Heinich est absolument magnifique ! J'ai adoré et j'ai été touchée par la beauté de son écriture et la sensibilité que ses mémoires dégagent.

Répondre
Patrice Batistonet
21/1/2013 01:38:55 pm

Un grand livre plein de fureur et de calme. Merci Nathalie Heinich pour ce partage d'émotions.

Répondre
Philippe Vilain
22/1/2013 06:46:51 am

C’est un projet très intéressant que de s’écrire, comme vous le faites, par ces lieux habités, qui continuent de vous habiter ; que de se représenter dans le temps par la mémoire qui vous hante. "Maisons perdues" s’offre comme une sorte de topographie de la mémoire. Une manière d’autographie détournée aussi, indirecte, une façon de s’écrire disais-je, de retrouver son temps, de se reloger, comme Marguerite Duras l’avait un peu fait en tirant un livre, "Les lieux", d’un film avec Michele Porte ; comme Jacques Borel l’avait fait, dans un autre domaine, avec l’histoire de ses vieux habits. Il y a une grande sensibilité dans votre écriture, une poésie de la simplicité que j’aime. Un désir de restituer votre passé et, ce faisant, de parler d’une autre, d’atteindre notre mémoire. Parlant de vos maisons perdues, vous parlez des nôtres, vous parlez des miennes sans le savoir, de toutes celles qui demeurent dans un coin de ma mémoire, sur lesquelles je n’ai jamais osé écrire encore.

Répondre
Ange Lobato
4/2/2013 05:51:12 am

Livre subtil, plein de sensibilité. Merci Madame pour votre oeuvre.

Répondre
Sandrine Curial
7/2/2013 06:16:09 am

Encore un grand livre de Nathalie Heinich. Elle mérite d'enseigner au Collège de France!!!

Répondre
Hocine Tandjaoui
8/2/2013 01:09:34 pm

Grand moment de bonheur que la découverte de cette écriture, précise, somptueuse et profonde. Un ton d'élégie, d'ode, puisé dans les profondeurs de cette mémoire si particulière qui s'appelle la littérature. Plus que par les pierres, ces maisons sont portées par le chant profond, de l'amour et de la plus profonde nostalgie. Grand merci.

Répondre
Jean-Claude
15/2/2013 10:05:23 am

Livre inclassable et émouvant. Un Tristes tropiques de nos jours. Bravo!

Répondre
luc
16/2/2013 02:51:25 am

Ce livre est probablement un des plus grands récits de ces dernières années tant la finesse de Nathalie Heinich est source de plaisir pour le lecteur.

Répondre
françois
18/2/2013 09:44:45 am

Un livre émouvant et secouant.

Répondre
Patricia Figo
18/2/2013 10:16:55 am

Moments proustiens, rythme faulknérien, complexité joycienne... Merci

Répondre
Paul Maldini
18/2/2013 01:15:42 pm

Etranges sensations dues à ce livre: comme si j'étais dans un roman de Virginia Woolf qui aurait lu Patrick Modiano.

Répondre
Garance Autiel
19/2/2013 03:55:32 am

Un livre habité. Comment ne pas penser aux melodies de The house of love?

Répondre
Sophie Bearzot
19/2/2013 06:15:34 am

Dans ce livre aux intérêts éclectiques, une sorte de méthode, et d’impact, propres à NathalieHeinich, se mettent en place : construire sa propre démarche au contact d’objets a priori interdits de récit et, en retour, activer, féconder des espaces de création artistiques, théoriques ou politiques.

Répondre
Sophie Ott
20/2/2013 04:52:42 am

"Maisons perdues" est une constellation d'étoiles qui rend hommage à ces lieux aimés et aux êtres aimés. Un rayon de lumière à travers tout ce temps, pour que, un nouveau jardin fasse renaître le lien entre hier et demain. Ici ,à la Retrouvée.

Répondre
Eric Weber
20/2/2013 06:28:11 am

Un livre mémorable car inscrit dans l'Histoire. Et une écriture originale et talentueuse.

Répondre
Anaïs
25/2/2013 07:12:01 am

Ce livre m'a fait pleurer. Je sais maintenant ce qu'est la nostalgie. Merci Nathalie Heinich.

Répondre
Max Simmel
1/3/2013 04:56:52 am

Nathalie Heinich a su donner sa vision en partage. C'est inestimable.

Répondre
Marielle Di Stefano
4/3/2013 02:24:04 am

Gratitude, oui, gratitude. Nathalie Heinich m'a permis de me retrouver car son écriture est au plus près des émotions.

Répondre
Audrey Neeskens
5/3/2013 02:44:33 am

Livre habité par l'intelligence et l'émotion.

Répondre
Nadège Puskas
5/3/2013 12:30:34 pm

Enfin un livre novateur !!! Un grand bravo à Nathalie Heinich pour son courage et son inventivité littéraire !!!

Répondre
Anita Tigana
6/3/2013 03:01:59 am

Moments de plaisirs à la lecture de ce livre sans pareil. Nathalie Heinich est notre psychanalyste et sait nous faire comprendre notre relation à nos maisons. Une grande dame.

Répondre
Bernard Bathenet
7/3/2013 09:35:53 am

Madame Heinich est l'archéologue de nos passions et éveils.

Répondre
Jean-Clément
20/3/2013 07:41:17 am

Un livre-mémoire, un livre-souvenir, un livre-nostalgie, un livre pour demain. Nathalie Heinich a une plume bien à elle.

Répondre
Nolan link
16/4/2019 07:15:35 am

Merci!

Répondre

Votre commentaire sera affiché après son approbation.


Laisser un réponse.

    Partager

    Cliquez sur un titre pour lire ou laisser un commentaire.

    Ce forum est un lieu d'échange entre nos auteurs et leurs lecteurs. N'hésitez pas à y laisser vos impressions et à faire part de vos remarques ou questions.

    Accès par genre

    Tous
    Actualité
    Beaux Livres
    Contes
    Écriture Dessinée
    Essais
    Nouvelles
    Poèmes
    Récits
    Romans



Nos livres

Nous

On en parle

Contact

Catalogue
À paraître
Qui sommes-nous ?
La visée
Médias
Blogosphère
Nous contacter
Webmaster

Suivez
notre actualité
Suivez-nous sur facebook
Suivez-nous sur instagram
Recevez notre newsletter
Abonnez-vous à notre lettre d'information
© Editions Thierry Marchaisse

Editions Thierry Marchaisse
www.editions-marchaisse.fr

Contact : [email protected]
Relation Presse : [email protected]

221 rue Diderot, ​​94300 Vincennes
Tél. : +33 (0)1 43 98 94 19

​Nos livres

Catalogue
À paraître

Nous

Qui sommes-nous ?
La visée

​
On en parle

​Médias
Blogosphère

​Contact

​Nous contacter
Webmaster
Photo
suivez-nous sur instagram
Photo
© Editions Thierry Marchaisse​

Nathalie Heinich - Maisons perdues

11/12/2012

28 Commentaires

 
Photo
En savoir plus sur cet ouvrage
Le livre -  Médias - Blogs

28 Commentaires
Marielle Macé
11/12/2012 08:09:29 am

Un mot trop bref pour dire avec quel bonheur je lis ces Maisons perdues ; chacune est approchée avec cette intelligence tendre, libre et mélancolique qui baigne tout le livre ; j'imagine l'enfant qui se cache pour pleurer d'émotion à la vue du premier panier de cerises !, les éloignements, les vies futures et les vies rêvées ; je retrouve les pensées complexes des possibles féminins, des possibles familiaux, les pesanteurs, les pertes, ou les bonheurs au réveil ; je ne suis pas tout à fait à la fin du récit (commencé hier!) mais je n'ai pas pu résister à regarder les dernières pages, cherchant à savoir si la maison était retrouvée.

Répondre
Belinda Cannone
15/12/2012 07:39:41 am

J'ai lu en deux traites Maisons Perdues que j'ai trouvé remarquable et qui renouvelle le genre de l'autobiographie d'une façon surprenante. Car c'est bien une autobiographie, mais sous une forme inédite. Il y a certes une linéarité, comme c'est la coutume, assurée par la succession des maisons, mais la chair du temps (!), disons son épaisseur, personnelle et transgénérationnelle, vient s'inscrire chaque fois comme à la verticale. En musique je dirais qu'il y a la mélodie des maisons que vient augmenter et complexifier l'harmonie des éléments biographiques. Et puis, cette plume toujours légère et élégante, et une alacrité délicieuse. C'est vraiment, vraiment bien. Bravo.

Répondre
Jean-Philippe Domecq
14/1/2013 11:16:29 am

Ce livre fait comprendre combien voyager n'est pas bouger, mais trouver, essayer de trouver, découvrir par "hasard objectif" (un des concepts d'André Breton qui tient le coup), être déplacé réellement par l'intériorité croisée de soi et d'un toit. Bref, tout l'opposé de la "vacance" voyageuse, vaste aliénation qui a pris la place laissée justement vacante par la religion comme englobant.
L'auteur nous mène dans une autobiographie topographique qui, via sa singularité, invite tout un chacun à réaliser qu'il en va de même pour soi. D'où la quête que Nathalie Heinich fait faire au lecteur pendant qu'il la suit sur des pistes bien à elle. C'est là que le texte autobiographique est réussi, et, tandis qu'elle nous mène par les deux mains du sensible et du réfléchi, j'entendais la formule de Rousseau au seuil des Confessions: "je mène une entreprise qui n'eut jamais d'exemple", etc.. Il mentait un peu sur ce point (pas ailleurs), sachant ses prédécesseurs Saint-Augustin et Montaigne; mais N.H en revanche, avec ce projet de trajet de vies ("j'ai plusieurs vies", dit-elle) inaugure bel et bien quelque chose.
L'écriture est fluide et sobre, pudique en échos, et par là-même nous atteint d'autant plus, nous prend d'émotion contenue. C'est pourquoi j'ai été touché, littéralement .
Grand merci pour cette lecture.

Répondre
Emilie Dubourber
15/1/2013 01:08:58 pm

Comme toujours je suis séduite par l'écriture de Nathalie Heinich...
Ce livre m'accompagne dans mes rêveries car il est plein d'enchanteresses évocations.

Répondre
Momoko Seto
20/1/2013 11:09:31 am

Le livre de Nathalie Heinich est absolument magnifique ! J'ai adoré et j'ai été touchée par la beauté de son écriture et la sensibilité que ses mémoires dégagent.

Répondre
Patrice Batistonet
21/1/2013 01:38:55 pm

Un grand livre plein de fureur et de calme. Merci Nathalie Heinich pour ce partage d'émotions.

Répondre
Philippe Vilain
22/1/2013 06:46:51 am

C’est un projet très intéressant que de s’écrire, comme vous le faites, par ces lieux habités, qui continuent de vous habiter ; que de se représenter dans le temps par la mémoire qui vous hante. "Maisons perdues" s’offre comme une sorte de topographie de la mémoire. Une manière d’autographie détournée aussi, indirecte, une façon de s’écrire disais-je, de retrouver son temps, de se reloger, comme Marguerite Duras l’avait un peu fait en tirant un livre, "Les lieux", d’un film avec Michele Porte ; comme Jacques Borel l’avait fait, dans un autre domaine, avec l’histoire de ses vieux habits. Il y a une grande sensibilité dans votre écriture, une poésie de la simplicité que j’aime. Un désir de restituer votre passé et, ce faisant, de parler d’une autre, d’atteindre notre mémoire. Parlant de vos maisons perdues, vous parlez des nôtres, vous parlez des miennes sans le savoir, de toutes celles qui demeurent dans un coin de ma mémoire, sur lesquelles je n’ai jamais osé écrire encore.

Répondre
Ange Lobato
4/2/2013 05:51:12 am

Livre subtil, plein de sensibilité. Merci Madame pour votre oeuvre.

Répondre
Sandrine Curial
7/2/2013 06:16:09 am

Encore un grand livre de Nathalie Heinich. Elle mérite d'enseigner au Collège de France!!!

Répondre
Hocine Tandjaoui
8/2/2013 01:09:34 pm

Grand moment de bonheur que la découverte de cette écriture, précise, somptueuse et profonde. Un ton d'élégie, d'ode, puisé dans les profondeurs de cette mémoire si particulière qui s'appelle la littérature. Plus que par les pierres, ces maisons sont portées par le chant profond, de l'amour et de la plus profonde nostalgie. Grand merci.

Répondre
Jean-Claude
15/2/2013 10:05:23 am

Livre inclassable et émouvant. Un Tristes tropiques de nos jours. Bravo!

Répondre
luc
16/2/2013 02:51:25 am

Ce livre est probablement un des plus grands récits de ces dernières années tant la finesse de Nathalie Heinich est source de plaisir pour le lecteur.

Répondre
françois
18/2/2013 09:44:45 am

Un livre émouvant et secouant.

Répondre
Patricia Figo
18/2/2013 10:16:55 am

Moments proustiens, rythme faulknérien, complexité joycienne... Merci

Répondre
Paul Maldini
18/2/2013 01:15:42 pm

Etranges sensations dues à ce livre: comme si j'étais dans un roman de Virginia Woolf qui aurait lu Patrick Modiano.

Répondre
Garance Autiel
19/2/2013 03:55:32 am

Un livre habité. Comment ne pas penser aux melodies de The house of love?

Répondre
Sophie Bearzot
19/2/2013 06:15:34 am

Dans ce livre aux intérêts éclectiques, une sorte de méthode, et d’impact, propres à NathalieHeinich, se mettent en place : construire sa propre démarche au contact d’objets a priori interdits de récit et, en retour, activer, féconder des espaces de création artistiques, théoriques ou politiques.

Répondre
Sophie Ott
20/2/2013 04:52:42 am

"Maisons perdues" est une constellation d'étoiles qui rend hommage à ces lieux aimés et aux êtres aimés. Un rayon de lumière à travers tout ce temps, pour que, un nouveau jardin fasse renaître le lien entre hier et demain. Ici ,à la Retrouvée.

Répondre
Eric Weber
20/2/2013 06:28:11 am

Un livre mémorable car inscrit dans l'Histoire. Et une écriture originale et talentueuse.

Répondre
Anaïs
25/2/2013 07:12:01 am

Ce livre m'a fait pleurer. Je sais maintenant ce qu'est la nostalgie. Merci Nathalie Heinich.

Répondre
Max Simmel
1/3/2013 04:56:52 am

Nathalie Heinich a su donner sa vision en partage. C'est inestimable.

Répondre
Marielle Di Stefano
4/3/2013 02:24:04 am

Gratitude, oui, gratitude. Nathalie Heinich m'a permis de me retrouver car son écriture est au plus près des émotions.

Répondre
Audrey Neeskens
5/3/2013 02:44:33 am

Livre habité par l'intelligence et l'émotion.

Répondre
Nadège Puskas
5/3/2013 12:30:34 pm

Enfin un livre novateur !!! Un grand bravo à Nathalie Heinich pour son courage et son inventivité littéraire !!!

Répondre
Anita Tigana
6/3/2013 03:01:59 am

Moments de plaisirs à la lecture de ce livre sans pareil. Nathalie Heinich est notre psychanalyste et sait nous faire comprendre notre relation à nos maisons. Une grande dame.

Répondre
Bernard Bathenet
7/3/2013 09:35:53 am

Madame Heinich est l'archéologue de nos passions et éveils.

Répondre
Jean-Clément
20/3/2013 07:41:17 am

Un livre-mémoire, un livre-souvenir, un livre-nostalgie, un livre pour demain. Nathalie Heinich a une plume bien à elle.

Répondre
Nolan link
16/4/2019 07:15:35 am

Merci!

Répondre

Votre commentaire sera affiché après son approbation.


Laisser un réponse.

    Partager

    Cliquez sur un titre pour lire ou laisser un commentaire.

    Ce forum est un lieu d'échange entre nos auteurs et leurs lecteurs. N'hésitez pas à y laisser vos impressions et à faire part de vos remarques ou questions.

    Accès par genre

    Tous
    Actualité
    Beaux Livres
    Contes
    Écriture Dessinée
    Essais
    Nouvelles
    Poèmes
    Récits
    Romans