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Roman
19 €, 240 p.
ISBN : 978-2-36280-060-3
Format : 140/205 mm
Parution : 22 janvier 2015
Disponible en Ebook (10,99 €)
ISBN : 978-2-36280-060-3
Format : 140/205 mm
Parution : 22 janvier 2015
Disponible en Ebook (10,99 €)
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Europe 1 "Historiquement vôtre", 10 décembre 2020
Emission "Plus Nobel la vie" de Stéphane Bern et Matthieu Noël
Invités : Isabelle Bergoënd (38:50' > 52:50) et François Noudelmann
Historiquement Vôtre réunit des prix Nobel: le philosophe rebelle Jean-Paul Sartre qui l’a refusé en 1964 (François Noudelmann), le physicien Gabriel Lippmann qui a fait passer la photo en couleur (Isabelle Bergoënd)
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Invités : Isabelle Bergoënd (38:50' > 52:50) et François Noudelmann
Historiquement Vôtre réunit des prix Nobel: le philosophe rebelle Jean-Paul Sartre qui l’a refusé en 1964 (François Noudelmann), le physicien Gabriel Lippmann qui a fait passer la photo en couleur (Isabelle Bergoënd)
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Le Dauphiné Libéré 31 juillet 2015
La 9e transalpina à la rencontre des lecteurs. Tout l'après-midi, Michel Berthod (...) Isabelle Bergoënd ont répondu et échangé avec les lecteurs fidèles et les autres...
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Parutions.com Gilles Ferragu, 8 avril 2015
Tout commence comme un jeu, Le Jeu, celui qui occupe Eleonore et Romuald, un frère et une sœur ayant tissé ainsi un lien ludique. Mais pour Eleonore, l’énigme du jeu ouvre sur une rencontre, et une autre énigme, celle d’un vieux vietnamien un peu dépenaillé et de son mystérieux Dagobert optique (on pourrait dire Daguerréotype, mais ce serait moins pittoresque), une plaque de verre comportant une image couleur d’une facture inhabituelle.
Une énigme donc, mais qui suppose un vrai complot : outre Eleonore et son frère, l’équipe se compose de Hoanh – le dit propriétaire dudit Dagobert – Oscar, aveugle, amoureux d’Eleonore, Yvan, détective romantique, et Nora, une ado qui débute dans la carrière de monte-en-l’air. Autant le dire, une sacrée équipe… Mais c’est ce qu’il faut pour interroger cet objet étrange, le faire parler et suivre les pistes – historiques et scientifiques – qu’il propose à la curiosité du groupe. Car il y a un double mystère, familial et scientifique…
Avec ce premier roman, Isabelle Bergoënd – physicienne de profession – fait la démonstration d’un vrai talent pédagogique autant que littéraire, assorti d’une non moins vraie perversité… car il est bien pervers d’administrer dans un style aussi plaisant un vrai cours, solide, bien pensé et encore mieux mené, sur l’imagerie, la photographie et ses enjeux à la fois philosophiques et technologiques. Au début, on se retrouve dans Friends et le Dagobert semble une incongruité. En effet, le petit groupe d’enquêteurs vous prend la main, vous accueille en son sein, et l’on suit, avec plaisir, les intrigues qui se nouent entre tous… tout en suivant sans répit l’intrigue principale, celle du Dagobert et de ce qui le lie à son propriétaire.
Mais au-delà, et par touches légères et habiles, l’auteur nous entrouvre un monde à la fois familier et pourtant très peu accessible, celui de l’image, de la tentative de reproduire le réel, tout le réel, une espèce de quête obsessionnelle qui suppose à la fois un talent d’inventeur, une dose de physique-chimie, et du courage. L’enjeu : capturer la couleur, la lumière, cette chose à la fois si naturelle et si intime, cette expérience indicible – c’est le sens du personnage d’Oscar – et immanente. On passe ainsi, de pages en pages, de réflexions sur la profondeur de l’image, à des moments de vie, ou à de forts récits scientifiques.
Pour qui s’intéresse à la science, aux romans scientifiques, et aime les énigmes et les polars, ce Dagobert optique n’est pas seulement une révélation, c’est aussi une bonne surprise.
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Une énigme donc, mais qui suppose un vrai complot : outre Eleonore et son frère, l’équipe se compose de Hoanh – le dit propriétaire dudit Dagobert – Oscar, aveugle, amoureux d’Eleonore, Yvan, détective romantique, et Nora, une ado qui débute dans la carrière de monte-en-l’air. Autant le dire, une sacrée équipe… Mais c’est ce qu’il faut pour interroger cet objet étrange, le faire parler et suivre les pistes – historiques et scientifiques – qu’il propose à la curiosité du groupe. Car il y a un double mystère, familial et scientifique…
Avec ce premier roman, Isabelle Bergoënd – physicienne de profession – fait la démonstration d’un vrai talent pédagogique autant que littéraire, assorti d’une non moins vraie perversité… car il est bien pervers d’administrer dans un style aussi plaisant un vrai cours, solide, bien pensé et encore mieux mené, sur l’imagerie, la photographie et ses enjeux à la fois philosophiques et technologiques. Au début, on se retrouve dans Friends et le Dagobert semble une incongruité. En effet, le petit groupe d’enquêteurs vous prend la main, vous accueille en son sein, et l’on suit, avec plaisir, les intrigues qui se nouent entre tous… tout en suivant sans répit l’intrigue principale, celle du Dagobert et de ce qui le lie à son propriétaire.
Mais au-delà, et par touches légères et habiles, l’auteur nous entrouvre un monde à la fois familier et pourtant très peu accessible, celui de l’image, de la tentative de reproduire le réel, tout le réel, une espèce de quête obsessionnelle qui suppose à la fois un talent d’inventeur, une dose de physique-chimie, et du courage. L’enjeu : capturer la couleur, la lumière, cette chose à la fois si naturelle et si intime, cette expérience indicible – c’est le sens du personnage d’Oscar – et immanente. On passe ainsi, de pages en pages, de réflexions sur la profondeur de l’image, à des moments de vie, ou à de forts récits scientifiques.
Pour qui s’intéresse à la science, aux romans scientifiques, et aime les énigmes et les polars, ce Dagobert optique n’est pas seulement une révélation, c’est aussi une bonne surprise.
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