

Roman
16 €, 160 p.
ISBN : 978-2-36280-297-3
Format : 140/205 mm
Parution : 12 janvier 2023
Disponible en Ebook (11,99 €)
ISBN : 978-2-36280-297-3
Format : 140/205 mm
Parution : 12 janvier 2023
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Les Notes 26 novembre 2024
De nos jours, alors qu’elle pose nue comme modèle, comme elle le faisait autrefois à l’école d’art pour les étudiants, une jeune femme se remémore ses amants ; elle repense aux moments passés avec eux, les bons comme les moins bons.
Tournant les pages l’une après l’autre, ou plutôt amant après amant, la narratrice ouvre le journal intime de sa vie sexuelle : elle raconte le « juste un soir » à la recherche du « pour la vie », le corps objet et le cœur brisé, l’attirance et la désillusion, le jeu du chat et de la souris, la domination et l’humiliation… Ses ressentis physiques et émotionnels, que ce soit le plaisir ou la souffrance, s’expriment sous une écriture spontanée, crue, souvent touchante, auxquels fait écho le langage corporel par des dessins très expressifs du corps de la narratrice en fin de chaque chapitre.
Cette mise à nu sans tabou dévoile surtout sa solitude de femme libre et aussi celle de tous les « amoureux solitaires ». Solitude nue est certainement un reflet des relations hommes/femmes à notre époque, il est aussi le témoignage fort d’une femme à la recherche de l’amour qui ose assumer son corps et sa sexualité.
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Tournant les pages l’une après l’autre, ou plutôt amant après amant, la narratrice ouvre le journal intime de sa vie sexuelle : elle raconte le « juste un soir » à la recherche du « pour la vie », le corps objet et le cœur brisé, l’attirance et la désillusion, le jeu du chat et de la souris, la domination et l’humiliation… Ses ressentis physiques et émotionnels, que ce soit le plaisir ou la souffrance, s’expriment sous une écriture spontanée, crue, souvent touchante, auxquels fait écho le langage corporel par des dessins très expressifs du corps de la narratrice en fin de chaque chapitre.
Cette mise à nu sans tabou dévoile surtout sa solitude de femme libre et aussi celle de tous les « amoureux solitaires ». Solitude nue est certainement un reflet des relations hommes/femmes à notre époque, il est aussi le témoignage fort d’une femme à la recherche de l’amour qui ose assumer son corps et sa sexualité.
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Singulars Jean-Philippe Domecq, 20 avril 2023
Pauline Wuth, avant Solitude nue, a déjà publié un premier roman sous un autre nom. Le recours au pseudonyme ici s’imposait étant donné la matière de ce roman que publient les éditions Thierry Marchaisse – dont le catalogue, de haute tenue, soit dit en passant pour les emplettes de nos lecteurs, mérite la visite du site, croisant psychanalyse, anthropologie, poésie, mémoires, récits.
L’entreprise de Solitude nue est périlleuse et crue, exploratoire de mœurs qui seraient « nôtres », en tout cas très contemporaines pour tels humains aujourd’hui assez nombreux, semble-t-il hélas. Une jeune femme se remémore sa vie sexuelle ; certes et le moins que l’on puisse dire, la misère sexuelle est bien moindre qu’autrefois, contrairement à ce que ressort le dernier carré de ceux qui essaient de comprendre comment a pu être possible le succès de Michel Houellebecq vilipendant la libération sexuelle qui en dix ans dans les années 1960 a plus libéré les femmes qu’en trente siècles.
Pour autant, ladite misère n’a pas totalement disparu, pas plus que la bêtise et la vulgarité, ne disparaîtront jamais ; elles changent de visage.
Le visage de la sexualité d’aujourd’hui montre que beaucoup couchent, mais comme on se serre la main, avec plus ou moins d’égards, ne parlons pas de tact, et encore moins de sensualité. [...]
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L’entreprise de Solitude nue est périlleuse et crue, exploratoire de mœurs qui seraient « nôtres », en tout cas très contemporaines pour tels humains aujourd’hui assez nombreux, semble-t-il hélas. Une jeune femme se remémore sa vie sexuelle ; certes et le moins que l’on puisse dire, la misère sexuelle est bien moindre qu’autrefois, contrairement à ce que ressort le dernier carré de ceux qui essaient de comprendre comment a pu être possible le succès de Michel Houellebecq vilipendant la libération sexuelle qui en dix ans dans les années 1960 a plus libéré les femmes qu’en trente siècles.
Pour autant, ladite misère n’a pas totalement disparu, pas plus que la bêtise et la vulgarité, ne disparaîtront jamais ; elles changent de visage.
Le visage de la sexualité d’aujourd’hui montre que beaucoup couchent, mais comme on se serre la main, avec plus ou moins d’égards, ne parlons pas de tact, et encore moins de sensualité. [...]
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Ma Collection de Livres Henri-Charles Dahlem, 5 avril 2023
Dès les premières lignes, le ton est donné. Pauline liste ses amants avec les lettres de l’alphabet et va nous mener de A à Z. Si ses premières expériences sont plutôt décevantes, c’est sans doute par manque d’expérience, mais c’est aussi parce que ses partenaires pensent d’abord à eux, ne s’inquiétant guère de son plaisir ou pire même, lui font mal.
Alors, après avoir tâtonné, cru qu’il s’agissait en quelque sorte d’un passage obligé, elle va essayer de trouver l’homme qui, au-delà de l’acte, aura envie de partager sa vie, qui considèrera l’amour comme un sentiment plutôt qu’un acte sexuel. Mais au fil de ses rencontres et de ses voyages, à Vienne ou à Amsterdam, elle ne va réussir qu’à entrapercevoir ce qui pourrait s’apparenter à un véritable compagnon de route. [...]
Après avoir couché avec N – qui la complimente sur sa plastique – elle va offrir à une école des beaux-arts de poser nue pour ses élèves. Une expérience dont témoignent les dessins de Charlotte Vellin qui illustrent le livre au fil des chapitres et soulignent cette volonté assumée de vraiment se mettre à nu.
Pauline Wuth ne cache rien, ni de son corps, ni de ses pensées. Elle dit avec des mots simples sa peine à trouver l’homme de sa vie, celui qui partagerait davantage que le sexe. Tour à tour crue et touchante, elle dresse un état assez désolant des relations entre hommes et femmes d’aujourd’hui. Est-il vraiment si difficile de construire un couple ? Faut-il refuser de s’engager vraiment ? La déception est-elle assurément au bout du chemin ?
Entre lucidité et mélancolie, entre moments de bonheur et de tristesse, Pauline Wuth ne répondra pas à ces questions, mais nous livrera en toute franchise le bilan d’une expérience qui se poursuivra au-delà de Z.
L’histoire n’est pas finie.
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Alors, après avoir tâtonné, cru qu’il s’agissait en quelque sorte d’un passage obligé, elle va essayer de trouver l’homme qui, au-delà de l’acte, aura envie de partager sa vie, qui considèrera l’amour comme un sentiment plutôt qu’un acte sexuel. Mais au fil de ses rencontres et de ses voyages, à Vienne ou à Amsterdam, elle ne va réussir qu’à entrapercevoir ce qui pourrait s’apparenter à un véritable compagnon de route. [...]
Après avoir couché avec N – qui la complimente sur sa plastique – elle va offrir à une école des beaux-arts de poser nue pour ses élèves. Une expérience dont témoignent les dessins de Charlotte Vellin qui illustrent le livre au fil des chapitres et soulignent cette volonté assumée de vraiment se mettre à nu.
Pauline Wuth ne cache rien, ni de son corps, ni de ses pensées. Elle dit avec des mots simples sa peine à trouver l’homme de sa vie, celui qui partagerait davantage que le sexe. Tour à tour crue et touchante, elle dresse un état assez désolant des relations entre hommes et femmes d’aujourd’hui. Est-il vraiment si difficile de construire un couple ? Faut-il refuser de s’engager vraiment ? La déception est-elle assurément au bout du chemin ?
Entre lucidité et mélancolie, entre moments de bonheur et de tristesse, Pauline Wuth ne répondra pas à ces questions, mais nous livrera en toute franchise le bilan d’une expérience qui se poursuivra au-delà de Z.
L’histoire n’est pas finie.
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Lesaccrolivres & Babelio Clarisse, 21 février 2023
Une très belle lecture.
En choisissant ce roman, je me suis dis pourquoi pas, ça changera de tes lectures habituelles et j'ai bien fait !
Je ne pensais pas que j'allais autant aimé et que j'allais le lire aussi facilement. L'écriture est simple, fluide, crue mais sans être trop vulgaire lorsqu'elle aborde les différentes expériences sexuelles. C'est un roman qui ouvre l'esprit et dans lequel de nombreuses femmes peuvent se reconnaître.
On suit une jeune femme qui lors d'un cours d'art va poser nue et relater les différentes expériences amoureuses, sexuelles qu'elle a eu durant sa vie. Les hommes qu'elle a fréquenté sont représentés par des lettres (A à Z), ce que j'ai vraiment trouvé intéressant puisque d'une part cela met une distance entre ce qu'elle raconte et ce qu'elle a vécu mais aussi nous rappelle des discussions que l'on a pu avoir entre filles lorsqu'on ne voulait pas prononcer le prénom d'un certain garçon.
On devient alors une sorte de copine qui écoute les différentes histoires de cette femme qui a eu de nombreuses conquêtes et qui a chacune d'elle, a une anecdote à raconter. Elle va aborder les sentiments, les douleurs, les plaisirs, la découverte de soi et de l'autre et de nombreux autres sujets très importants dans la vie sexuelle d'une femme. Je trouve cela vraiment intéressant et parlant, cela est narré de façon tellement naturelle que l'on a vraiment l'impression d'écouter une personne nous narrer ces histoires.
Pour finir, j'ai apprécié d'avoir ces quelques dessins qui accompagnent le texte, il y en a qui sont vraiment magnifiques. C'est une lecture que j'ai pris beaucoup de plaisir à lire puisque cela ne tombe pas dans le vulgaire et aborde des sujets importants voir sensibles sans tabous et on en a bien besoin ! Et je finirai par dire que c'est important d'entendre la voix des femmes sur ce sujet.
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En choisissant ce roman, je me suis dis pourquoi pas, ça changera de tes lectures habituelles et j'ai bien fait !
Je ne pensais pas que j'allais autant aimé et que j'allais le lire aussi facilement. L'écriture est simple, fluide, crue mais sans être trop vulgaire lorsqu'elle aborde les différentes expériences sexuelles. C'est un roman qui ouvre l'esprit et dans lequel de nombreuses femmes peuvent se reconnaître.
On suit une jeune femme qui lors d'un cours d'art va poser nue et relater les différentes expériences amoureuses, sexuelles qu'elle a eu durant sa vie. Les hommes qu'elle a fréquenté sont représentés par des lettres (A à Z), ce que j'ai vraiment trouvé intéressant puisque d'une part cela met une distance entre ce qu'elle raconte et ce qu'elle a vécu mais aussi nous rappelle des discussions que l'on a pu avoir entre filles lorsqu'on ne voulait pas prononcer le prénom d'un certain garçon.
On devient alors une sorte de copine qui écoute les différentes histoires de cette femme qui a eu de nombreuses conquêtes et qui a chacune d'elle, a une anecdote à raconter. Elle va aborder les sentiments, les douleurs, les plaisirs, la découverte de soi et de l'autre et de nombreux autres sujets très importants dans la vie sexuelle d'une femme. Je trouve cela vraiment intéressant et parlant, cela est narré de façon tellement naturelle que l'on a vraiment l'impression d'écouter une personne nous narrer ces histoires.
Pour finir, j'ai apprécié d'avoir ces quelques dessins qui accompagnent le texte, il y en a qui sont vraiment magnifiques. C'est une lecture que j'ai pris beaucoup de plaisir à lire puisque cela ne tombe pas dans le vulgaire et aborde des sujets importants voir sensibles sans tabous et on en a bien besoin ! Et je finirai par dire que c'est important d'entendre la voix des femmes sur ce sujet.
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Babelio Omeann, 30 janvier 2023
Pas voyeuriste pour deux sous, on se sent comme une amie à qui elle confierait ses histoires. La langue est simple mais pas simpliste, crue, mais pas vulgaire. Elle raconte tout, les sentiments, la jouissance, la douleur physique, émotionelle, l'insistance, le silence... Et on ressent avec elle une ptofonde frustration. [...]
À mettre entre les mains de tous les hommes, surtout ceux un peu trop sûrs d'eux, les manipulateurs, les pervers narcissiques.
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À mettre entre les mains de tous les hommes, surtout ceux un peu trop sûrs d'eux, les manipulateurs, les pervers narcissiques.
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Terrafemina magazine Clément Arbrun, 28 janvier 2023
Erotisme, féminisme, série noire : 6 romans qui bousculent pour bien passer l'hiver.
Erotisme, policier, récit historique, journal intime... Il y en a pour tous les goûts dans cette vaste rentrée littéraire hivernale qui vient envahir nos librairies. Des voix d'autrices singulières, privilégiant des proses intimes et libres, au service d'une littérature toujours plus incarnée et audacieuse. C'est notamment le cas de ces six opus à dégoter à tout prix.
Solitude Nue. Derrière cet intitulé poétique, un objet très singulier : un roman aux très courts chapitres, ponctué d'illustrations sensuelles explicites. Des crayonnés qui donnent corps à une prose déjà très organique en soi, puisqu'évoquant les émois sexuels et amoureux d'une protagoniste libre.
Une femme qui met autant à nu son corps - notamment en posant pour des étudiants en art - que ses affects, l'espace de lignes tour à tour crues, amères et touchantes. Ou comment revisiter la littérature érotique en conciliant le sexe, frontal, et la mélancolie.
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Erotisme, policier, récit historique, journal intime... Il y en a pour tous les goûts dans cette vaste rentrée littéraire hivernale qui vient envahir nos librairies. Des voix d'autrices singulières, privilégiant des proses intimes et libres, au service d'une littérature toujours plus incarnée et audacieuse. C'est notamment le cas de ces six opus à dégoter à tout prix.
Solitude Nue. Derrière cet intitulé poétique, un objet très singulier : un roman aux très courts chapitres, ponctué d'illustrations sensuelles explicites. Des crayonnés qui donnent corps à une prose déjà très organique en soi, puisqu'évoquant les émois sexuels et amoureux d'une protagoniste libre.
Une femme qui met autant à nu son corps - notamment en posant pour des étudiants en art - que ses affects, l'espace de lignes tour à tour crues, amères et touchantes. Ou comment revisiter la littérature érotique en conciliant le sexe, frontal, et la mélancolie.
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Naturisme Magazine Jean-Luc Bouland, N°80, 19 janvier 2023
Songes illustrés d’un modèle nu
A quoi pense un modèle nu ? Et si sa nudité révélée l’entrainait au plus profond de souvenirs très intimes ? Tel est l’exercice littéraire tenté par Pauline Wuth dans Solitude nue. En vivant directement l’expérience.
[...]
Même parfois crue, descriptive, l’histoire ainsi contée ne laisse pas indifférent. Dans une même thématique, elle pourrait facilement rejoindre sur les rayon de la bibliothèque celle de Rachel Monnat ou de Laure Becdelievre . Et, qui n’aurait certainement pas été désavoué par Colette, dont on célèbre cette année le 150e anniversaire de la naissance.
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A quoi pense un modèle nu ? Et si sa nudité révélée l’entrainait au plus profond de souvenirs très intimes ? Tel est l’exercice littéraire tenté par Pauline Wuth dans Solitude nue. En vivant directement l’expérience.
[...]
Même parfois crue, descriptive, l’histoire ainsi contée ne laisse pas indifférent. Dans une même thématique, elle pourrait facilement rejoindre sur les rayon de la bibliothèque celle de Rachel Monnat ou de Laure Becdelievre . Et, qui n’aurait certainement pas été désavoué par Colette, dont on célèbre cette année le 150e anniversaire de la naissance.
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