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15,90 €, 128 p.
ISBN : 978-2-36280-295-9
Format : 140/205 mm
Parution : 15 septembre 2022
Disponible en Ebook (11,99 €)
ISBN : 978-2-36280-295-9
Format : 140/205 mm
Parution : 15 septembre 2022
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D'autres nouvelles
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Thierry Marchaisse
Monsieur Hopop |
Les Notes C.H. et C.B., 25 novembre 2024
Coup de coeur de la rédaction !
Ce recueil est constitué de treize nouvelles, treize portraits de femmes jeunes et moins jeunes qui ont comme point commun de rêver d’une autre vie. Tout d’abord Aurélie qui au XIXème siècle a du mal à être mère, aspirant à la liberté, puis d’autres femmes sans nom ni prénom plus contemporaines comme celle qui vit avec un égoïste passionné de course automobile, celle plantée dans la rue qui attend pendant des heures son mari occupé « ailleurs », celle qui mange seule au restaurant, celle qui vit à travers les personnages de son feuilleton télévisé, pour ne pas toutes les citer. L’autrice elle-même conseille aux lecteurs-rices de commencer par la première nouvelle Aurélie car Aurélie – dit-elle- est l’ancêtre des femmes des autres nouvelles.
Le style d’écriture est différent en fonction des situations évoquées pour un plaisir de lecture augmenté.
Émouvants, amusants pour certains, absurdes pour d’autres, les textes de Lucile Bordes, fine observatrice, ne laissent pas indifférents et si cette dernière avait en tête à travers ces captivants portraits de femmes en quête d’émancipation de nous faire à nous lectrices un clin d’œil, c’est réussi !
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Ce recueil est constitué de treize nouvelles, treize portraits de femmes jeunes et moins jeunes qui ont comme point commun de rêver d’une autre vie. Tout d’abord Aurélie qui au XIXème siècle a du mal à être mère, aspirant à la liberté, puis d’autres femmes sans nom ni prénom plus contemporaines comme celle qui vit avec un égoïste passionné de course automobile, celle plantée dans la rue qui attend pendant des heures son mari occupé « ailleurs », celle qui mange seule au restaurant, celle qui vit à travers les personnages de son feuilleton télévisé, pour ne pas toutes les citer. L’autrice elle-même conseille aux lecteurs-rices de commencer par la première nouvelle Aurélie car Aurélie – dit-elle- est l’ancêtre des femmes des autres nouvelles.
Le style d’écriture est différent en fonction des situations évoquées pour un plaisir de lecture augmenté.
Émouvants, amusants pour certains, absurdes pour d’autres, les textes de Lucile Bordes, fine observatrice, ne laissent pas indifférents et si cette dernière avait en tête à travers ces captivants portraits de femmes en quête d’émancipation de nous faire à nous lectrices un clin d’œil, c’est réussi !
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Regards Protestants Frédérick Casadesus, 25 novembre 2022
A l’approche des fêtes, voici quelques suggestions de livres à offrir
Le refus des effets, le souci d’atteindre une cible en évitant le gratuit, voilà bien le volume qui vaut le détour : « Le prix à payer est cher pour s’appartenir. Les femmes qui ne sont pas femmes de sont de mauvaise vie. Et les plus impitoyables sont les amies, les sœurs, le gynécée universel que ces gouapes trahissent de la pire des façons en s’affranchissant d’un joug dont les autres se savent complices. »
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Le refus des effets, le souci d’atteindre une cible en évitant le gratuit, voilà bien le volume qui vaut le détour : « Le prix à payer est cher pour s’appartenir. Les femmes qui ne sont pas femmes de sont de mauvaise vie. Et les plus impitoyables sont les amies, les sœurs, le gynécée universel que ces gouapes trahissent de la pire des façons en s’affranchissant d’un joug dont les autres se savent complices. »
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Babelio Agnès de Clairville, 23 octobre 2022
Ce livre est un recueil de nouvelles. La première, une novella, nous fait suivre Aurélie, personnage semble-t-il négligé par l'autrice lors de la composition d'un roman basé sur l'histoire de sa famille. A travers l'histoire d'Aurelie, jeune femme ambitieuse perdue dans un XIXeme siècle peu amène pour les femmes libres, Lucile Bordes écrit la brusquerie d'un destin picaresque et qui nous apprend autant sur le rapport de l'autrice à l'écriture et à ses lecteurs que sur cette jeune femme oubliée.
Les autres nouvelles qui complètent ce recueil me sont apparues comme des instantanés de vie, des peintures d'âmes exécutées avec la même délicatesse et la même subtilité que des estampes au lavis. Bonheur de retrouver ce style découvert dans Que faire de la beauté !
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Les autres nouvelles qui complètent ce recueil me sont apparues comme des instantanés de vie, des peintures d'âmes exécutées avec la même délicatesse et la même subtilité que des estampes au lavis. Bonheur de retrouver ce style découvert dans Que faire de la beauté !
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RCF émission Marque Page, Christophe Robert, 18 octobre 2022
Émission Marque Page
Christophe Robert reçoit l'autrice Lucile Bordes pour son recueil de nouvelle "Aurélie et autres femmes sans nom"
durée : 13 min
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Christophe Robert reçoit l'autrice Lucile Bordes pour son recueil de nouvelle "Aurélie et autres femmes sans nom"
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Memo émoi Geneviève Munier, 4 octobre 2022
Quelle belle balade entre ces femmes que l’auteur dépeint avec tant de talent. Son écriture est élégante, elle est simple comme peut l’être la beauté, sans fard ni artifice. Il y a de l’absurde dans ces histoires, de l’humour et de la tristesse.
Il y a cette femme qui réclame une feuille de recensement à remplir pour son fils emprisonné, celle qui suit avec difficulté son amoureux dans un parc floral, et qui voudrait pouvoir lui dire qu’elle en a assez, celle qui parle avec sa mère des personnages de son feuilleton quotidien comme s’il s’agissait de membres de sa famille. Toutes ces femmes aimeraient être autres, se libérer de quelque chose, s’émanciper. [...]
Un recueil de nouvelles, portraits de femmes bien ficelés, à l’écriture variée et très belle : un régal ! Je l’ai déjà dit ? Qu’à cela ne tienne, je le répète !
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Il y a cette femme qui réclame une feuille de recensement à remplir pour son fils emprisonné, celle qui suit avec difficulté son amoureux dans un parc floral, et qui voudrait pouvoir lui dire qu’elle en a assez, celle qui parle avec sa mère des personnages de son feuilleton quotidien comme s’il s’agissait de membres de sa famille. Toutes ces femmes aimeraient être autres, se libérer de quelque chose, s’émanciper. [...]
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